Transcription – Épisode 29 : Entretien avec la championne et co-champions de la CCMTGC

John Hannaford : Bonjour à tous, c’est un plaisir d’avoir l’occasion d’être hôte une autre fois, pour une conversation assez importante pour nous comme communauté et comme ministère. J’ai le plaisir d’avoir trois collègues ici comme champions pour la campagne de charité en milieu de travail [CCMTGC], ici au ministère. Premièrement, nous avons Caroline Leclerc, notre sous-ministre adjointe et experte dans le domaine de développement mondial, Myriam Pineault-Latreille, co-championne pour cette année et ancienne étudiante à l’Université d’Ottawa, ainsi qu’Harkiran Rajasansi, qui est une passionnée de club de lecture.

Harkiran Rajasansi : Alors, j’étais déléguée commerciale, puis au SPED [Service de la politique étrangère et de la diplomatie], et je travaille maintenant dans le volet Développement avec Caroline.

Caroline Leclerc : Oui, la voici sous le projecteur.

John Hannaford : Bon. C’est génial d’avoir ce niveau d’interaction entre les différents volets aussi. C’est un réel plaisir d’avoir la chance de discuter avec vous aujourd’hui. C’est l’occasion de parler un peu de la campagne, de votre vision de la campagne et de certaines des possibilités que voyez, ainsi que de leur importance non seulement pour nous, mais aussi pour l’ensemble de la collectivité que nous servons, à Ottawa, dans les diverses villes où nous sommes établis, à travers le Canada. Merci beaucoup d’être parmi nous. Peut-être on peut commencer avec Caroline, et on peut discuter un peu de votre vision pour la campagne cette année.

Caroline Leclerc : Merci beaucoup John, ça me fait vraiment plaisir d’être ici, nous les co-championnes de la campagne. J’avoue que quand j’ai commencé, ou quand j’ai pris le rôle de championne, j’étais excessivement stressée, beaucoup d’anxiété, parce que c’est vraiment, c’est gros, c’est visible, c’est un défi.

John Hannaford : C’est important.

Caroline Leclerc : Oui, c’est important. Ça m’a vraiment forcé à remettre en question « c’était quoi mon implication avec la campagne? ». Pourquoi, quand je participais, pourquoi je donnais — ça fait 24 ans que je fais des déductions à la source et il y a des années où j’ai même pas pensé — j’ai augmenté un peu, j’ai baissé un peu, et là j’ai commencé à réfléchir un petit peu là-dessus. Je me suis souvenue que quand j’allais amener mes enfants à l’école et je voyais les petits amis qui devaient aller au Club des petits déjeuners parce qu’ils n’avaient pas de bons lunchs, et j’ai pensé à mon amie, qui était dans une relation violente, qui avait besoin d’aide et qui avait besoin d’accès à un centre pour femmes violentées. J’ai pensé à mon neveu, quand il était adolescent et qui avait des défis avec son identité sexuelle et avait besoin d’appui, il avait besoin du coaching pour avoir des conversations difficiles. J’ai pensé à ma mère, quand elle avait le cancer et que c’est mon père qui prenait soin d’elle à la maison et qui avait besoin d’aide, il avait besoin de services pour aller à ces traitements. Et là, je me suis rendu compte qu’il y a tout cet écosystème d’organisations qui fournissent ces services-là, et qui sont à bout de souffle, et qui sont toujours à leurs derniers sous, et si la seule chose que moi je peux faire c’est de faire un don, bien je vais le faire. Donc, je suis revenue super motivée, j’étais plus enthousiaste que jamais et je voulais que notre campagne — je voulais que la campagne ici au ministère — je voulais qu’elle soit représentative du ministère. Je voulais qu’elle soit inclusive, je voulais qu’elle interpelle les jeunes et je voulais surtout qu’on s’amuse. Mais, vu que je ne suis pas la meilleure organisatrice, je me suis bien entourée de mes co-championnes qui m’aident beaucoup. Mais, après ça, il a fallu qu’on choisisse un thème. Tout le monde me parlait des super héros quand Arun [Thangaraj, Champion de la campagne à AMC en 2017] était le champion, et je n’avais rien pour accoter ça, et j’essayais de trouver quelque chose qui pourrait intéresser les gens. S’il y a quelque chose que j’aime faire à part dormir, c’est de faire de l’haltérophilie. J’aime ça faire de l’haltérophilie. Donc, j’ai pensé au thème « Lift/Plus haut » et on a commencé à en parler un peu et on s’est dit que ça pourrait marcher « plus haut pour nos collectivités », « visons plus haut pour nos collectivités ». Donc, ça a été notre thème pour ce que je voudrais que les gens retiennent de la campagne - j’aimerais ça que la campagne serve à ramener à la surface pourquoi est-ce que c’est important pour la communauté, que les gens prennent le temps d’aller voir à l’entour d’eux les gens qui ont des besoins, mais aussi les organisations qui sont là. Je voudrais que les gens profitent pour réseauter, qu’on s’amuse entre nous, qu’on apprenne à se connaître. Puis, surtout, je veux que les gens voient le plaisir qu’on peut retirer de faire un don ou de faire une heure de bénévolat.

John Hannaford : Eh bien, c’est vrai, et c’est extrêmement important. Je suppose que l’une des caractéristiques sur lesquelles nous avons essayé de mettre l’accent dans la campagne de cette année, c’est l’ampleur de la participation de tous les membres de la communauté. Et Myriam, vous avez été très active dans ce genre de réseau de jeunes et vous avez été un véritable leader à cet égard. C’est d’autant plus merveilleux que vous jouez un rôle de leader dans cette campagne. Mais je me demande quelles sont les raisons pour lesquelles vous avez choisi de faire ce type de travail pour nous?

Myriam Pineault-Latreille : Quand Caroline est venue m’approcher pour me demander si je voulais devenir co-championne j’étais vraiment excitée et je trouvais que c’était vraiment un grand honneur, mais surtout que je trouvais que c’était une vraiment bonne opportunité de vraiment inclure les jeunes, réimaginer la campagne « élargie », mais aussi valoriser le temps que le monde investisse et l’argent. Juste après le lancement de la campagne, en fait, j’ai reçu plein de e-mails de jeunes qui étaient comme : « j’ai des idées, j’ai une idée pour comment relever de l’argent, j’ai aussi des idées sur comment on pourrait communiquer la campagne. » Les jeunes ici sont vraiment innovateurs et créatifs, donc c’était vraiment le fun de leur offrir — de leur ouvrir la porte et leur offrir l’opportunité pour qu’ils puissent embarquer dans la campagne. C’était vraiment apprécié et je pense aussi que la campagne apporte beaucoup aussi aux jeunes au ministère parce que… Comme Caroline l’a mentionné, c’est vraiment comme du « renforcement de communauté », et c’est vraiment, pour les jeunes, on change souvent d’équipe, d’un contrat à un autre, et des fois c’est difficile de créer la communauté au sein du ministère. Mais d’avoir ce moment dans l’année où genre on créer des équipes et on fait la course à relais, et là, soudainement ensemble on essaie de monter des fonds, et il y a une espèce d’esprit d’équipe qui est vraiment créé et je pense que c’est vraiment le fun pour les jeunes d’embarquer justement dans la campagne. La campagne c’est aider la communauté à Ottawa, mais c’est aussi d’aider la communauté au sein du ministère. Comme Caroline l’a mentionné, il y a plusieurs autours de nous qui viennent d’un milieu plus pauvre, ou qui a des personnes autour d’eux qui ont — qu’un parent est malade. On aide aussi nos propres collègues tu sais?

Ma mère est atteinte de la SLA, qui est la même maladie que Mauril Bélanger a été diagnostiqué. C’est une maladie vraiment rare et l’argent a vraiment — il y en a pas beaucoup, et ça a un impact dans la recherche. Il y a quelques semaines, je regardais la ventilation des e-pledges qui avaient été faits au ministère. Je voulais voir c’est quoi les causes qui sont à cœur, justement, aux employés du ministère. Donc, je voulais regarder : « ah, est-ce que c’est les causes environnementales? » — exemple — et ça m’a surpris de voir, en fait, qu’il y avait une douzaine d’employés du gouvernement qui avaient donné pour la cause de la SLA, et qu’ensemble, notre douzaine, on a réussi à amasser des milliers de dollars. Là, soudainement, ça m’a rappelé c’est quoi la beauté de la campagne. C’était comme « oui je faisais partie de cette communauté-là », je ne savais pas qui étaient ces autres employés-là, mais ensemble on avait réussi à avoir un impact sur une cause qui, a un gros impact dans ma vie. J’étais comme « ah ouais, je suis vraiment contente d’être impliquée dans la campagne », justement pour ça.

Caroline Leclerc : Bravo,

John Hannaford :… oui…

Caroline Leclerc : et en plus tu étais bonne, tu fais vraiment une bonne job, c’est vraiment cool ce que tu nous as apporté. Donc, un gros merci.

John Hannaford : Harkiran, vous jouez plusieurs rôles : J’aimerais savoir ce qui vous motive. Vous pouvez nous expliquer pourquoi vous jouez un rôle de leader? J’aimerais également vous entendre sur tout ce qui vous a surpris jusqu’à maintenant dans le cadre de la campagne.

Harkiran Rajasansi : Certainement, vous savez, je travaille dans ce ministère depuis maintenant 18 ans en tant qu’agente du service extérieur; et je suis passée de solliciteuse à co-championne, ce qui est une excellente occasion de voir comment nous travaillons avec notre haute direction. Mais vraiment pour moi, il s’agit de renforcer et de soutenir la communauté, à l’intérieur et à l’extérieur de notre ministère. Je vivais donc dans le marché [ByWard] et tous les jours, je passais devant des gens dont les besoins étaient criants. Vous savez, j’étais au cœur de la crise de la drogue à Ottawa, et de l’itinérance. J’habitais à deux pâtés des Bergers de l’Espoir. Alors tous les jours, chaque fois que j’emmenais ma fille à la maternelle, je voyais des gens dans le besoin. Et on réalise qu’il y a tellement de gens qui sont sur le point de devenir sans-abri, au bord de tout perdre. Et ils ont besoin de services. Ils ont besoin d’aide. On voit qu’il y a un énorme manque de soutien en matière de problèmes de santé mentale dans notre pays. Et c’est donc quelque chose de très concret. Combien de personnes dans le ministère vivent à distance de marche de cet immeuble? Ils le voient tous les jours. Je pense donc que c’est quelque chose qui me touche de près. Nous avons tellement de chance de pouvoir travailler dans un domaine très intéressant et pour lequel nous sommes bien payés. Il nous incombe donc de contribuer à nos collectivités, d’aider ceux qui sont dans le besoin, et de le faire d’une manière très concrète, avec des frais généraux peu élevés. Il y a toutes ces raisons pratiques de le faire et qui donnent des résultats concrets.

Et lorsque vous êtes en affectation, vous voyez les mêmes besoins où que vous soyez dans le monde, que vous soyez en poste à Jakarta, comme je l’étais, ou à Seattle. Vous savez, c’est une ville extrêmement riche, mais les taux d’itinérance y sont élevés, et les gens se serrent les coudes pour soutenir leurs collectivités et les gens qu’ils voient tous les jours. Je pense que c’est très important. Et pour moi, ici, au ministère, il s’agit d’être socialement responsable et de rassembler la communauté. Combien de personnes aiment déjeuner à leur bureau? Pas nous. C’est donc génial de sortir et d’aller à la vente de pâtisseries et d’aller à la vente de livres. Nous sommes juste au 111 [Sussex] pour la course à relais de cet après-midi. C’était incroyable. Les gens étaient si enthousiastes. Les costumes, les gens s’amusaient. On n’entend jamais quelqu’un dire « non, je ne veux pas avoir du plaisir au travail ». De plus, la campagne donne l’impression que, pendant un trimestre de l’année, vous avez l’occasion de vous réunir en tant que communauté et d’apprendre à connaître vos collègues. J’ai rencontré beaucoup de gens au ministère qui travaillent sur cette campagne, ça nous motive, vous savez? Ça vient renouveler votre enthousiasme à l’idée de venir travailler. On a du plaisir. On mange ensemble. C’est... c’est une excellente occasion de maintenir son enthousiasme et d’être heureux d’être au travail, vous comprenez?

John Hannaford : …oui…

Harkiran Rajasansi : Et on peut voir que ça donne d’excellents résultats.

John Hannaford : Je suis tout à fait d’accord. Je pense que l’une des choses merveilleuses à propos de cette campagne, et c’est vrai, tous les ans, c’est que c’est vraiment une question de communauté. Il s’agit de nous en tant que communauté de travail. Et comme vous le dites, vous avez l’occasion, en participant à la campagne, de renforcer vos relations et votre sentiment d’appartenance dans ce milieu. Vous savez, nous tenions une partie de hockey-balle au BCP [Bureau du Conseil privé], ce qui était ridicule parce que nous n’étions pas le groupe le plus sportif, laissez-moi vous dire. Mais c’était vraiment amusant, et c’était en quelque sorte le point culminant de l’année. Ça renforçait nos relations, mais plus précisément, ça nous rappelait à quel point nous étions chanceux. Et vous connaissez ce ministère, plus que la plupart d’entre nous, parce que nous sommes exposés au monde entier, vous savez, ça nous montre à quel point nous sommes chanceux de vivre dans ce pays et d’avoir les possibilités que nous avons. Vous savez, la chance de redonner un peu en retour à la collectivité est quelque chose de puissant. Le travail que vous faites est donc très, très important de ce point de vue aussi. Au nom du ministère, je tiens à vous remercier pour tout le travail que vous faites. Je voulais m’assurer que tout le monde connait les diverses façons de donner et entend tous les conseils que vous pouvez donner aux gens qui ne savent pas encore s’ils vont faire un don…

Caroline Leclerc : Mais on peut-tu en profiter un peu pour briser quelques mythes? Premier mythe, je pense que les gens pensent qu’on participe à la campagne parce qu’on se sent obligé, mais vraiment, clairement, vous êtes super inspirantes mes co-championnes. Un gros merci à vous deux. Premier mythe : J’ai entendu il y quelques semaines qu’apparemment un des mythes c’est que la gestion s’engage là-dedans parce qu’il y a un bonus. Les gens pensent que je vais en tirer un bonus? Au début, je me suis dit : wow, c’est fou. J’étais confuse, et j’ai donc appelé Bruce [Christie] et Arun, et j’ai vérifié qu’ils n’obtenaient aucun bonus. Et je regarde vos expressions, et, donc, à ceux qui nous écoutent, le visage du sous-ministre crie : « Je ne ferai pas d’argent avec ça. » Donc, ce premier mythe est bien démoli, mais je veux en profiter aussi pour, parce qu’une des questions que les gens me demandent tout le temps, c’est « pourquoi? Je peux donner à n’importe qu’elle organisation quand je veux, je donne déjà, pourquoi je donnerais par la campagne de charité? » Moi, je leur dis, « si vous donnez déjà bravo, et continuez, et participez aux activités. Par contre, réfléchissez un peu à ceci : les organisations de charité, c’est souvent des organisations qui sont faites de bénévoles. Imaginez ces gens-là qui sont en train d’organiser des collectes de fonds. C’est un méchant paquet de trouble organiser un souper-spaghetti, un tournoi de golf, recruter des bénévoles, faire le tour des entreprises pour avoir des cadeaux. Souvent, ces personnes-là vont mettre 50 cents d’efforts pour aller chercher 1 dollar. Souvent, c’est un bénévole qui est le trésorier, qui est dans son sous-sol, qui est en train d’essayer de faire de la comptabilité, qui va essayer d’émettre les reçus de bienfaisance, pour vos impôts. Quand le chèque de la campagne arrive, c’est un don du ciel pour ces gens-là. Ils peuvent prendre leur 50 cents qu’ils ont dépensés pour essayer de faire ces collectes de fonds et ils peuvent le mettre complètement sur leur programme. » C’est ça, moi en ce qui me concerne, l’avantage de donner à travers la campagne. Je ne sais pas, vous, si vous avez des mythes auxquels vous vouliez vous attaquer?

Myriam Pineault-Latreille : Un mythe, qui, qui cours beaucoup auprès des jeunes, c’est que, si tu donnes - si tu fais un e-pledge - donc, à chacune de tes payes, il y a un montant qui va à une charité de ton choix, que ça va créer en fait des problèmes avec Phénix. En tant que personne qui a des problèmes avec Phénix depuis qui a commencé au ministère, je peux vous garantir que j’ai fait mes e-pledges et qu’il n’y a pas eu plus de problèmes qui ont survenu soudainement avec mes e-pledges. Il y a aussi cette perception que si tu as déjà des problèmes avec Phénix, il ne faut pas que tu donnes, c’est deux logiciels qui sont complètement séparés. Depuis 2016, la campagne garantit qu’il n’y a jamais eu quelqu’un qui a donné un e-pledge qui a créé un problème avec Phénix. Donc, je pense que c’est — il faut que ça arrête qu’on en parle — parce que ce n’est pas du tout relié en fait.

Harkiran Rajasansi : Et j’abonde dans le même sens. Je suis quelqu’un qui n’a jamais eu de problèmes avec Phénix et je n’ai jamais eu de problèmes de retenue à la source ou encore avec un don ponctuel par carte de crédit. C’est assez simple et j’encourage les gens à l’utiliser. Et je pense que ça devient de plus en plus facile tous les ans. Vous savez, par rapport à l’époque où nous avions des formulaires papier. On peut toujours les utiliser, ou vous pouvez toujours le faire en ligne — j’ai compté et il y a environ quatre clics pour faire votre don, ce qui est....

John Hannaford : Vous avez tout à fait raison. Je l’ai fait la semaine dernière, et c’est très simple.

Harkiran Rajasansi : C’est très simple. Vous savez donc que si, pour toutes les autres raisons, des frais généraux au pourcentage des dons qui vont effectivement à l’organisme de bienfaisance, et je pense qu’il y a quelque chose comme 85 000 organismes de bienfaisance que vous pouvez choisir, ou un nombre démesuré comme ça. Vous pouvez choisir l’organisme de bienfaisance de votre choix. Il y a beaucoup d’organismes de bienfaisance canadiens enregistrés qui ont besoin d’aide.

John Hannaford : C’est une initiative formidable. Je vous suis très reconnaissant, à vous trois, pour les rôles que vous avez joués et pour vos efforts de promotion de la campagne. Je veux simplement encourager tous ceux qui nous écoutent aujourd’hui à penser de faire un don, car c’est vraiment important pour notre communauté, et c’est une façon d’exprimer votre gratitude pour les conditions dans lesquelles nous vivons. Je suis désolé —

Harkiran Rajasansi : Je viens de penser à une autre chose que je voulais dire sur nos missions. Je viens de lire aujourd’hui qu’un tiers des dons recueillis par le ministère proviennent de nos missions, ce qui est incroyable. Il est donc important de se rappeler que même si vous êtes dans une mission, et que vous êtes un employé canadien, il est toujours très facile de faire votre don en ligne avec e-pledge, y compris pour la retenue à la source. Nos communautés et nos missions à l’étranger font aussi des activités extraordinaires. Vous voyez les besoins locaux et vous organisez des activités. Les gens recueillent et donnent également de l’argent à des organismes de bienfaisance locaux, ce qui constitue une aide extrêmement précieuse.

John Hannaford : Pour notre communauté dans le monde entier.

Harkiran Rajasansi : Absolument.

John Hannaford : Eh bien, je tiens à vous remercier encore une fois. Ce fut un plaisir de vous parler. Et merci pour tout votre travail.

Harkiran Rajasansi : Merci.

Myriam Pineault-Latreille : Merci.

Caroline Leclerc : Merci.

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