Partenaire du PTPGP : Nouvelle-Zélande

• Le Canada était le premier investisseur étranger en Nouvelle-Zélande en 2015, et le deuxième sur la période de trois ans qui s’est terminée en 2016.
• Les entreprises canadiennes investissent dans plusieurs secteurs en Nouvelle-Zélande, tels les biens commerciaux, les marchés agricoles, le secteur financier, le pétrole et le gaz, les technologies de l'information et des communications et le commerce de détail.

Aperçu du commerce Canada-Nouvelle-Zélande

Principales exportations canadiennes vers la Nouvelle-Zélande (moyenne de 2015 à 2017, $CAD)

Faits et chiffres importants

Commerce entre le Canada et la Nouvelle-Zélande

• Exportations canadiennes de marchandises : 468 millions de dollars (moyenne 2015-2017)
• Importations canadiennes de marchandises : 684 millions de dollars (moyenne 2015-2017)
• Exportations canadiennes de services (2016) : 230 millions de dollars
• Importations canadiennes de services (2016) : 244 millions de dollars

Tourisme entre le Canada et la Nouvelle-Zélande

• En 2016, le Canada a accueilli plus de 60 000 visiteurs de la Nouvelle-Zélande.

Principales importations canadiennes de marchandises en provenance de la Nouvelle-Zélande (moyenne 2015-2017)

• Produits agricoles (bœuf congelé, vin, viande de mouton congelée) : 501 millions de dollars
• Machines industrielles : 55 millions de dollars
• Matériel et équipement électronique et électrique : 28 millions de dollars
• Produits médicaux et pharmaceutiques : 27 millions de dollars
• Poisson et fruits de mer : 19 millions de dollars

Importations canadiennes de services en provenance de la Nouvelle-Zélande (2016)

• Voyages : 157 millions de dollars
• Transport et services gouvernementaux : 61 millions de dollars
• Services commerciaux : 26 millions de dollars

Principales exportations canadiennes de marchandises à destination de la Nouvelle-Zélande (moyenne 2015-2017)

• Produits forestiers et produits du bois à valeur ajoutée : 89 millions de dollars
• Produits agricoles (y compris porc congelé, nourriture pour animaux de compagnie et condiments) : 87 millions de dollars
• Machines industrielles : 68 millions de dollars
• Métaux et minéraux : 45 millions de dollars
• Engrais : 37 millions de dollars

Exportations canadiennes de services à destination de la Nouvelle-Zélande (2016)

• Voyage : 126 millions de dollars
• Transport et services gouvernementaux : 54 millions de dollars
• Services commerciaux : 49 millions de dollars

Comment le PTPGP favorise le commerce et l’investissement entre le Canada et la Nouvelle-Zélande

• Le PTPGP renforce un contexte commercial fondé sur les règles et offre un accès amélioré aux marchés pour les exportateurs et les investisseurs canadiens en Nouvelle-Zélande.
• Le PTPGP crée un accès exempt de droits de douane pour le commerce de biens entre le Canada et la Nouvelle-Zélande et élimine les droits de douane visant les principales exportations canadiennes, notamment :
  • porc (élimination des droits de douane de 5 % dans les 2 ans suivant l’entrée en vigueur)
  • pommes de terres préparées, y compris les frites (élimination des droits de douane de 5 % dès l’entrée en vigueur)
  • vin de glace (élimination des droits de douane de 5 % dès l’entrée en vigueur)
  • homard (élimination des droits de douane allant jusqu’à 5 % dès l’entrée en vigueur)
  • huiles de poissons (élimination des droits de douane de 5 % dès l’entrée en vigueur)
  • feuilles de placage (élimination des droits de douane allant jusqu’à 5 % dès l’entrée en vigueur)
  • panneaux de contreplaqué et de placage (élimination des droits de douane allant jusqu’à 50 % dans les 7 ans suivant l’entrée en vigueur)
  • bois de conifères transformés et bois non-résineux (élimination des droits de douane allant jusqu’à 5% dans les 7 ans suivant l’entrée en vigueur) 
  • machines industrielles (élimination des droits de douane allant jusqu’à 5 % dans les 7 ans suivants l’entrée en vigueur)
  • produits chimiques et plastiques (élimination des droits de douane allant jusqu’à 10 % dans les 7 ans suivant l’entrée en vigueur)
  • cosmétiques (élimination des droits de douane allant jusqu’à 5 % dans les 7 ans suivant l’entrée en vigueur)
• produits agricoles :
• poissons et fruits de mer :
• produits forestiers et produits du bois à valeur ajoutée :
• produits industriels :
• Le PTPGP permet aux entreprises canadiennes d’investir avec plus de confiance en Nouvelle-Zélande puisqu’il offre des protections contre un traitement non équitable et discriminatoire, ainsi qu’un degré plus élevé de prévisibilité et de transparence.
• Grâce au PTPGP, les fournisseurs de services profitent également d’engagements garantissant un meilleur accès aux marchés dans des secteurs clés tels que :
• services professionnels (p. ex. : services intégrés d’ingénierie, services juridiques, services d’urbanisme et services d’architecture paysagère)
• services environnementaux
• services de construction
• autres services commerciaux (p. ex. : services-conseils en gestion et services connexes)
• De nouveaux engagements relatifs à l’admission temporaire des gens d’affaires facilitent la mutation temporaire en Nouvelle-Zélande de certains personnels commerciaux des entreprises canadiennes, notamment en améliorant l’accès des visiteurs commerciaux, du personnel d’installation et d’entretien et des personnes faisant l’objet d’un transfert intragroupe.
• Le PTPGP contient aussi des dispositions exécutoires en matière de travail et d’environnement.

Débouchés sectoriels en Nouvelle-Zélande

• Technologies propres
• Le secteur des technologies propres est un moteur de la transition de la Nouvelle-Zélande vers une économie à faible émission de carbone.  
• Selon les estimations, il y a pour 4 milliards de dollars de Nouvelle-Zélande (approximativement 3.7 milliards de dollars canadiens) d’économies énergétiques à réaliser au cours des 10 années à venir.  
• Le nouveau gouvernement néo-zélandais adopte actuellement des politiques qui doivent permettre au pays d’atteindre un niveau net zéro d’émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050.
• Il compte également lutter contre la pollution des voies navigables du pays causée par la croissance de l’élevage laitier intensif.  
• Infrastructure
• En 2015, la Nouvelle-Zélande a lancé son plan d’infrastructure sur 30 ans.  
• Les gouvernements central et locaux comptent dépenser au total 11 milliards de dollars de Nouvelle-Zélande par an, sur 10 ans.  
• Le plan contient 145 initiatives conçues pour résoudre les problèmes du vieillissement des infrastructures du pays et des pressions de plus en plus fortes exercées par la croissance démographique.  
• Le plan couvre une diversité de secteurs dont le transport ferroviaire et routier, le logement, l’accès à large bande et la distribution de l’eau.
• Technologies de l’information et des communications
• Un développement important des technologies dans les domaines de la santé, de l’éducation en ligne, de l’agriculture et des transports intelligents (y compris l’intelligence artificielle, l’Internet des objets, l’analyse des mégadonnées et les villes intelligentes) offre des débouchés croissants.  
• Défense
• En 2016, le gouvernement néo-zélandais a dévoilé un plan d’investissement de 20 milliards de dollars de Nouvelle-Zélande dans la capacité des forces de défense.
• Aux termes de ce plan, l’armée mettra en place une nouvelle capacité de « cybersoutien », renforcera les unités du renseignement et numérisera les opérations de l’armée sur le champ de bataille, en lui fournissant des systèmes de navigation et de communication réseau-centrés.
• Les programmes de remplacement de la flotte vieillissante d’aéronefs de la Nouvelle-Zélande se poursuivront, ce qui raffermira également les intérêts de la Nouvelle-Zélande dans l’Antarctique.