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Comparution de la ministre du Développement international devant le Comité permanent des affaires étrangères de la Chambre des communes et le développement international (FAAE) sur les principales estimations 2020-2021 – Matériel de breffage

2020-11-17

Table des matières

A) Aperçu du comité

Note de scénario

Scénario de réunion

Composition des comités et intérêts

Travaux du comité

Biographies des membres du FAAE

Sven Spengemann, PLC (Mississauga–Lakeshore, ON), Président

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

M. Spengemann a été membre de nombreuses associations parlementaires et de nombreux groupes interparlementaires depuis son élection en 2015. Il est devenu le coprésident de l’Association parlementaire Canada-Afrique (CAAF) en février 2020. Il est membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (CANA) depuis 2016, du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU) depuis 2015, et a été membre de l’Association législative Canada-Chine (CACN) de novembre 2016 à mars 2017.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

M. Spengemann a obtenu son diplôme de droit à Osgoode Hall et a été admis au barreau de l’Ontario en juin 2000. Il a poursuivi ses études supérieures au Collège d’Europe en Belgique et à la faculté de droit de Harvard. Le travail universitaire de M. Spengemann lui a valu de nombreux prix et de nombreuses distinctions, dont une bourse Fulbright Canada-États-Unis.

M. Spengemann a travaillé au Conseil privé du gouvernement du Canada en tant qu’analyste principal des politiques, où il a dirigé les processus politiques interministériels fédéraux dans les domaines de la gestion des risques, de la coopération internationale et de la sécurité nationale. Il a également travaillé pour l’ONU à Bagdad, au sein de la Mission d’assistance des Nations Unies pour l’Irak (MANUI). En Irak, M. Spengemann a négocié des protocoles opérationnels avec les forces de la coalition américaine pour assurer le soutien opérationnel, sécuritaire et médical de la mission des Nations Unies.

M. Spengemann est un orateur fréquent dans la communauté sur les affaires internationales, la diplomatie et le maintien de la paix. Il a été invité par l’Association de l’OTAN à discuter de son travail au sein de la MANUI et pour la transition en cours en Irak. Il continue de travailler étroitement à l’échelle locale avec des communautés du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, notamment en Irak, dans la région du Kurdistan irakien, en Égypte, en Somalie et en Syrie.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

Pendant la période des questions du 9 mars 2020, M. Spengemann a posé une question sur la violence à Delhi. Il a souligné qu’au moins 50 personnes ont perdu la vie et que des centaines d’autres ont été blessées. M. Spengemann a déclaré que l’un des éléments à l’origine des dissensions était la loi d’amendement de la citoyenneté qui a été récemment adoptée par le gouvernement de l’Inde.

Le 6 février 2020, M. Spengemann s’est levé à la Chambre des communes pour parler de sa visite aux camps de réfugiés rohingyas à Cox’s Bazar. Cheryl Hardcastle et lui devaient comparaître devant le SDIR le 24 mars, mais la réunion a été annulée.

Au cours de la 42e législature, M. Spengemann a parlé de ce que le gouvernement avait fait pour promouvoir la paix, les droits de la personne et la démocratie à l’échelle internationale. Il a également parlé de son voyage au Sénégal et au Mali avec le Comité permanent de la défense nationale de la Chambre des communes.

Hon. Michael D. Chong, PCC (Wellington–Halton Hills, ON), Vice-président, porte-parole pour les affaires étrangères

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

M. Chong est actuellement le porte-parole de l’opposition officielle pour les affaires étrangères. Il a été président du Conseil privé de la Reine pour le Canada, ministre des Affaires intergouvernementales et ministre des Sports de février à novembre 2006. Il a été membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (CANA), de l’Association législative Canada-Chine (CACN) et du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis (CEUS), entre autres.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

M. Chong a été élu pour la première fois au Parlement en 2004 et a été président de plusieurs comités permanents de la Chambre des communes. Il est cofondateur et membre du Caucus multipartite sur les changements climatiques depuis sa création en 2011. Au cours de la 42e législature, le député Chong a été porte-parole de l’opposition officielle pour l’infrastructure et pour les sciences. En 2015, la loi de réforme de M. Chong a été adoptée par le Parlement et entrée en vigueur.

Avant son élection, M. Chong a été directeur de l’information pour l’Association des joueurs de la Ligue nationale de hockey et consultant principal en technologie pour l’Autorité aéroportuaire du Grand Toronto dans le cadre du réaménagement de l’aéroport international Pearson. Il a également cofondé l’Institut du Dominion, aujourd’hui connu sous le nom d’Historica Canada, un organisme qui s’est donné pour mission de sensibiliser les Canadiens à l’histoire et à l’instruction civique. Il siège actuellement à son conseil d’administration. M. Chong a étudié au Trinity College de l’Université de Toronto, où il a obtenu un diplôme en philosophie.

Renseignements biographiques sur des questions précises

Le 7 octobre 2020, le député Chong s’est prononcé sur l’Iran pendant la période des questions. Il a demandé au premier ministre à quel moment le gouvernement inscrirait le Corps des gardiens de la révolution islamique à la liste des organisations terroristes.

Le 6 octobre 2020, lors du débat sur le discours du Trône, le député Chong a déclaré que le gouvernement doit respecter ses obligations en vertu du droit national et conformément à la loi relative aux licences d’exportation et d’importation des marchandises militaires, et qu’il doit respecter ses obligations internationales en vertu du traité sur les armes, en affirmant que le gouvernement n’a pas été cohérent dans le respect de ces obligations. Il a également donné l’exemple de la Turquie en disant que « Il y a un an, le gouvernement a interrompu les exportations d’équipements militaires vers la Turquie par crainte qu’elle ne respecte pas ses obligations en tant que membre de l’OTAN. En avril ou en mai dernier, le gouvernement a recommencé à délivrer des licences d’exportation d’équipement militaire vers la Turquie. Cet équipement est utilisé en Azerbaïdjan dans le cadre du conflit qui se déroule actuellement dans le Caucase. Puis, il y a quelques jours, le gouvernement a encore fait marche arrière et il a de nouveau mis un terme à la délivrance de licences d’exportation vers cette destination. Il me semble que le gouvernement ne respecte pas ses obligations en vertu du droit interne et du droit international ».

Le 30 septembre 2020, le député Chong a félicité le gouvernement pour avoir réimposé des sanctions contre le Bélarus. Il a ensuite déclaré que la Chine violait les droits de la personne et les traités internationaux dans sa façon de traiter Michael Spavor, Michael Kovrig, les Ouïghours et les habitants de Hong Kong. Il a demandé si le gouvernement allait imposer des sanctions contre les responsables en Chine.

Le 10 décembre 2019, le député Chong s’est levé à la Chambre des communes pour parler des relations du Canada avec la Chine. Il a déclaré : « En réponse aux préoccupations d’ordre économique exprimées par de nombreux députés à propos de nos relations avec la Chine, je dirais que les valeurs et les principes sur lesquels notre pays est fondé, comme la démocratie, les droits de la personne et la primauté du droit, sont plus importants que les préoccupations économiques. Ces principes, nous risquons de les miner si nous continuons de ne voir que les conséquences économiques qu’engendrerait une redéfinition de nos relations avec la Chine ». Il a poursuivi en expliquant comment la Chine a de plus en plus recours au chantage économique, notamment en attaquant les agriculteurs canadiens dans les secteurs du porc, du bœuf et du canola. Le député Chong a également fait part de ses préoccupations concernant les Ouïghours dans les camps de concentration et la campagne systémique de Beijing visant à éliminer cette population de manière génocidaire. Enfin, il a demandé si le gouvernement comptait adopter une position plus ferme, plus forte et plus claire sur Hong Kong.

Stéphane Bergeron, BQ (Montarville, QC), Vice-président, porte-parole pour les affaires étrangères

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

M. Bergeron est actuellement le porte-parole du Bloc Québécois (BQ) pour les affaires étrangères. Il est membre de nombreuses associations parlementaires et de nombreux groupes interparlementaires, notamment l’Association législative Canada-Chine (CACN) et l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (CANA). Il a également été le whip du BQ de 1997 à 2001.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

M. Bergeron a été député du BQ à la Chambre des communes de 1993 à 2005 et membre de l’Assemblée nationale du Québec de 2005 à 2018. En 2019, il est revenu à la Chambre des communes en tant que membre du BQ. M. Bergeron est titulaire d’un baccalauréat et d’une maîtrise en sciences politiques. Après avoir quitté la Chambre des communes et siégé à l’Assemblée nationale du Québec pendant 13 ans, il a été registraire du Cégep de Rimouski. Auparavant, il a été conseiller politique et assistant d’enseignement à l’Université Laval au sein du département de science politique. De 1984 à 1993, il a servi dans les Forces canadiennes en tant qu’officier du Cadre des instructeurs de cadets de la marine.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

La majorité des déclarations de M. Bergeron ont porté sur la Chine, y compris sur le poste d’ambassadeur ayant demeuré vacant pendant huit mois et sur les répercussions sur les relations bilatérales.

Il a soulevé la question des droits de la personne lors de la période des questions, en demandant : « Qu’est-ce que cela va prendre pour que le gouvernement s’active enfin pour faire libérer Raïf Badawi? » Puis il a poursuivi sa question en déclarant : « C’est scandaleux qu’après sept ans, Raïf Badawi croupisse encore en prison sans avoir commis le moindre crime. Si le gouvernement est capable de s’asseoir et de travailler avec l’Arabie saoudite au G20, s’il est capable de s’asseoir avec l’Arabie saoudite pour faire des affaires, notamment pour lui vendre des armes, il est certainement capable de s’asseoir avec l’Arabie saoudite pour exiger la libération de Raïf Badawi ».

À l’annonce de la levée par le Canada de son interdiction d’exporter des biens militaires vers l’Arabie saoudite, le député Bergeron a demandé, sur Twitter : Aurait-on profité de la crise (COVID‑19) pour aller de l’avant en catimini avec cette décision controversée, en espérant qu’elle passe sous le radar?

En ce qui concerne la COVID‑19, sur les médias sociaux, le député Bergeron a reproché au gouvernement de ne pas avoir fermé ses frontières avec les États-Unis. Il a également commenté le rapatriement des Canadiens en affirmant que le ministre Champagne devait tenir sa promesse d’offrir un soutien consulaire et financier aux Canadiens à l’étranger. Le chef du BQ, Yves-François Blanchet, a également exprimé rapidement ses inquiétudes quant à l’ouverture maintenue de la frontière canado‑américaine, insistant sur le fait que toutes les entrées non essentielles devraient être interdites. Concernant le rapatriement des Canadiens, il a souligné qu’aucun Canadien ne devrait être laissé pour compte et a déclaré que le gouvernement devait faire son travail. Il a critiqué le gouvernement à la lumière des fermetures de consulats et de missions. Il a demandé aux membres de son caucus de contribuer de toutes les façons possibles aux efforts de rapatriement des Québécois. Le 9 avril, il a cependant remercié AMC et les agents consulaires pour avoir fait un travail titanesque.

Jack Harris, NPD (St. John’s Est, NL), Porte-parole pour les affaires étrangères

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

M. Harris est actuellement le porte-parole du NPD pour les affaires étrangères, la sécurité publique et l’Agence de promotion économique du Canada atlantique. Il est également le porte-parole adjoint pour la défense.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

Jack Harris est un avocat et un politicien de Terre-Neuve-et-Labrador. Il a représenté St John’s East à plusieurs reprises : de 1987-1988, de 2008 à 2015, et a remporté son siège à nouveau en 2019. Il a été le chef du Nouveau parti démocratique de Terre-Neuve-et-Labrador de 1992 à 2006.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

Le 10 décembre 2019, M. Harris s’est levé à la Chambre des communes pour appuyer la création d’un comité spécial sur les relations entre le Canada et la Chine. Il a déclaré : « Madame la Présidente, de toute évidence, la relation se détériorerait. Depuis à peu près un an, la Chine nous montre, comme dans ce cas-ci, combien il lui est facile de prendre des mesures préjudiciables à des personnes. Nous devons agir et agir vite ». Le même jour, M. Harris a également évoqué l’importance pour le Canada de recourir au multilatéralisme comme solution aux tensions actuelles entre le Canada et la Chine.

Robert Oliphant, PLC (Don Valley West, ON), Secrétaire parlementaire du ministre des affaires étrangères

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

Rob Oliphant a été nommé secrétaire parlementaire du ministre des Affaires étrangères en mai 2019 et a conservé ce rôle au cours de la 43e législature.

Il est activement impliqué dans les associations parlementaires. Il est notamment membre de l’Association législative Canada-Chine depuis décembre 2015.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

M. Oliphant a été élu pour la première fois à la Chambre des communes en octobre 2008. Il a été battu aux élections fédérales de 2011, mais a été réélu en 2015 et 2019.

M. Oliphant a obtenu un baccalauréat en commerce à l’Université de Toronto en 1978. Pendant ses études, il a été actif au sein du club libéral de l’Université de Toronto, ainsi que des (nouveaux) jeunes libéraux de l’Ontario. Après avoir obtenu une maîtrise en théologie à la Vancouver School of Theology, il a été ordonné ministre de l’Église unie en 1984.  Son titre officiel est celui de Révérend Docteur Robert Oliphant, député.

M. Oliphant a travaillé au cabinet du premier ministre David Peterson en 1989. Il a ensuite travaillé pour deux ministres provinciaux : Christine Hart, ministre de la Culture et des Communications, et Mavis Wilson, ministre déléguée à la Condition féminine.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

M. Oliphant défend fréquemment le modèle de politique étrangère du Canada, affirmant qu’il est fondé « sur le renouvellement d'un ordre international réglementé que les Canadiens ont construit ensemble, la protection des droits universels de la personne et le soutien aux démocraties », et notant que « nous montrons la voie, que ce soit au Venezuela, au Moyen-Orient, en Chine ou ailleurs dans le monde. Nous continuerons à soutenir nos alliés et nos partenaires de l'OTAN tout en faisant en sorte que la prépondérance du Canada demeure et soit reconnue dans notre monde, auprès de nos alliés et des pays aux vues similaires aux nôtres qui travaillent avec nous ».

M. Oliphant soulève la question des services consulaires canadiens à l’étranger dans plusieurs contextes, y compris les comités, les médias sociaux et les débats de la Chambre. Il a déclaré à plusieurs reprises que le retour de Michael Kovrig et de Michael Spavor est une priorité absolue du gouvernement.

Peter Fonseca, PLC (Mississauga East–Cooksville, ON)

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

Peter Fonseca a été membre de la Section canadienne de l’Association parlementaire du Commonwealth (CCOM) de décembre 2018 à mars 2019. Il a également été membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (CANA) de septembre 2018 à mars 2019, et de l’Association législative Canada-Chine (CACN) de décembre 2016 à mars 2017.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

M. Fonseca a été élu pour la première fois à la Chambre des communes en 2015. Avant d’entrer en politique fédérale, il était membre de l’Assemblée législative de l’Ontario et a fait partie du cabinet du premier ministre McGuinty. M. Fonseca est né à Lisbonne, au Portugal, et a immigré à Toronto avec sa famille en 1968. Il a obtenu un diplôme de la Michael’s College School et a fréquenté l’Université de l’Oregon, où il a obtenu un baccalauréat en arts grâce à une bourse d’études sportives. Il est également titulaire d’un baccalauréat en éducation de l’Université de Windsor. Il a travaillé comme conseiller principal en gestion du rendement pour la Coach Corporation, et a dirigé une société d’importation et de distribution au Portugal.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

Le député Fonseca a parlé de la Chine devant divers comités parlementaires, y compris le sous‑comité des droits internationaux de la personne. En tant qu’ancien membre du CIIT, M. Fonseca a concentré ses commentaires sur les dossiers d’AMC relatifs au commerce international lors des débats en Chambre et aux comités. Plus récemment, il s’est levé à la Chambre pour parler de la Loi de mise en œuvre de l’Accord Canada-États-Unis-Mexique.

Honorable Hedy Fry, PLC (Vancouver Centre, C.-B.)

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

Dre Fry a été secrétaire parlementaire du ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration et du ministre des Ressources humaines et du Développement des compétences (Initiative pour les travailleurs formés à l’étranger) de juillet 2004 à novembre 2005. Elle a également été secrétaire parlementaire du ministre de la Citoyenneté et de l’Immigration de décembre 2003 à juin 2004. Elle est membre de nombre de comités parlementaires, associations et groupes interparlementaires depuis 2002. Elle est actuellement chef de la délégation canadienne à l’Assemblée parlementaire de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCEPA), et est la représentante spéciale de l’OSCEPA pour les questions d’égalité des genres. Elle préside également l’Association canadienne des parlementaires pour le développement de la population.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

Mme Fry est une politicienne et une médecin trinidadienne-canadienne. Elle a terminé sa formation médicale au Royal College of Surgeons en Irlande. Elle est actuellement la plus ancienne femme députée au Parlement, ayant remporté neuf élections consécutives dans la circonscription de Vancouver Centre. Mme Fry a travaillé à l’hôpital St. Paul de Vancouver pendant 23 ans. Elle a été présidente de la British Columbia Federation of Medical Women en 1977. Elle a été présidente de la Vancouver Medical Association de 1988 à 1989, de la BC Medical Association en 1990-1991 et a présidé le comité du multiculturalisme de l’Association médicale canadienne de 1992 à 1999.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

En janvier de cette année, Mme Fry a parlé de l’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM).

Mme Fry s’est levée à la Chambre pour parler de la mutilation génitale féminine (MGF), en faisant remarquer : « En 1997, le gouvernement libéral a criminalisé cette pratique au Canada. Nous encourageons maintenant les autres pays, les donateurs, les organisations des Nations unies et la société civile à s'engager dans la lutte pour éliminer la mutilation des organes génitaux féminins partout dans le monde [...] Il faut faire plus. Pour mettre fin aux MGF, les gouvernements doivent agir par le biais de lois visant à protéger les droits fondamentaux des femmes et des filles, par des politiques qui leur donnent les moyens d’agir et, surtout, en cette année de Pékin+25, se rappeler que les droits des femmes sont des droits humains ».

En 2017, Mme Fry s’est levée à la Chambre pour parler des femmes et des filles réfugiées et migrantes dans le monde : « Parmi les 65 millions de personnes déplacées par les conflits, 55 % sont des femmes et des enfants. Les femmes et les jeunes filles déplacées sont souvent victimes de viols, d'esclavage sexuel et de mariages forcés [...] Tandis que nous célébrons les progrès réalisés ici, rappelons-nous que les droits des femmes sont simplement des droits de la personne, et qu'on ne pourra célébrer pleinement que lorsque toutes les femmes auront ces droits ».

Ruby Sahota, PLC (Brampton North, ON)

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

Depuis qu’elle est devenue députée en 2015, Mme Sahota a été membre de nombreuses associations parlementaires et de nombreux groupes interparlementaires. Elle a été participé aux travaux de la Section canadienne de l’Association parlementaire du Commonwealth (CCOM) de janvier 2016 à février 2018, de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN de septembre 2018 à mars 2019, du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis (CEUS) de janvier 2016 à avril 2018, et de l’Association législative Canada-Chine (CACN) de décembre 2015 à 2016.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

Avant d’entrer en politique, Mme Sahota a travaillé comme avocate, exerçant pendant cinq ans dans les domaines du droit pénal, du contentieux civil et de la résolution des conflits, tant dans le secteur public que dans le secteur privé. Elle est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques avec double spécialisation en études sur la paix de l’Université McMaster et d’un doctorat en droit avec une concentration en contentieux de la Thomas M. Cooley Law School.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

Mme Sahota s’est levée à la Chambre des communes à l’occasion du 10e anniversaire de la fin de la guerre au Sri Lanka pour demander au ministre des Affaires étrangères comment le gouvernement tient responsable les auteurs des atrocités.

Mme Sahota est une partisane des améliorations apportées au système d’immigration canadien sous le gouvernement libéral : « je reconnais l'importance d'avoir un système d'immigration efficace sur lequel les Canadiens, ceux qui désirent devenir Canadiens et tous les membres de notre société peuvent compter ».

Mme Sahota s’est exprimée sur le racisme à la Chambre, notant que la « communauté sikhe a été victime de racisme, de discrimination et de violence ».

Julie Dabrusin, PLC (Toronto-Danforth, ON)

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

Mme Dabrusin est actuellement secrétaire parlementaire de la ministre du Patrimoine canadien. Depuis qu’elle est devenue députée en 2015, Mme Dabrusin a été membre de nombreuses associations parlementaires et de nombreux groupes interparlementaires. Elle a participé aux travaux du Groupe parlementaire Canada-Israël (CAIL), de l’Association législative Canada-Chine (CACN), du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU), de la Section canadienne de ParlAmericas et de la Section canadienne de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (CAPF).

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

Mme Dabrusin a grandi à Montréal et a obtenu son diplôme de premier cycle en études du Moyen-Orient à l’Université McGill, avant de suivre des études de droit à l’Université de Toronto. Elle a pratiqué le droit relatif aux litiges, notamment en tant que conseillère de la Toronto External Contracts Inquiry, qui a examiné les marchés publics municipaux.

Mme Dabrusin était une bénévole active au sein de sa communauté. Elle a fondé Friends of Withrow Park, siégé au conseil d’administration de Park People et lancé des initiatives telles que l’équipe locale de Second Harvest Hunger Squad. En 2012, elle a reçu la médaille du jubilé de diamant de la Reine pour son service communautaire. Mme Dabrusin a été une ardente défenseuse de sa communauté sur les questions de contrôle des armes à feu, d’alimentation saine et d’interdiction des plastiques à usage unique.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

Mme Dabrusin parle souvent de sujets liés au patrimoine canadien à la Chambre des communes. À ce jour, la députée Dabrusin n’a pas fait de commentaires liés aux affaires étrangères à la Chambre des communes au cours de la 43e législature.

Garnett Genuis, PCC (Sherwood Park-Fort Saskatchewan, AB), Porte-parole pour le développement international et les droits de la personne

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

Garnett Genuis est actuellement le porte-parole du Parti conservateur pour le développement international et les droits de la personne. Il était auparavant le porte-parole conservateur pour les relations Canada-Chine et le multiculturalisme. Il a été membre de l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (CANA) de septembre 2018 à mars 2019 et membre du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis (CEUS) de février à mars 2017. En septembre 2017, il a déclenché un débat d’urgence à la Chambre des communes sur le sort des musulmans rohingyas au Myanmar. Au cours des deux dernières législatures, il a présenté un projet de loi d’initiative parlementaire et de nombreuses pétitions pour attirer l’attention sur la lutte contre le trafic d’organes humains.

Participation notable à des comités

M. Genuis a été élu en 2015 et 2019. Il a grandi dans le comté de Strathcona et s’est impliqué dans sa communauté en faisant du bénévolat au sein de diverses organisations, notamment un centre de soins local. À l’âge de 15 ans, il a commencé à écrire une chronique pour le Sherwood Park News, pour lequel il continue de contribuer régulièrement en tant que député.

M. Genuis est titulaire d’un baccalauréat en affaires publiques et en gestion des politiques de l’Université Carleton et d’une maîtrise en philosophie et politique publique de la London School of Economics. Avant son élection, il a travaillé au cabinet du premier ministre.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

M. Genuis se lève souvent à la Chambre des communes pour parler de diverses questions liées aux affaires étrangères. Au cours de la 43e législature, il a interrogé le gouvernement sur l’Iran, le Sri Lanka, les relations Canada-Chine et Taïwan pendant la période des questions. Il a également déclenché un débat d’urgence à la Chambre des communes sur le génocide des musulmans rohingyas en Birmanie et a présenté un projet de loi d’initiative parlementaire pour lutter contre le trafic d’organes humains.

Lors d’une séance d’information sur le développement international donnée par des fonctionnaires du ministère le 15 octobre 2020, le député Genuis a demandé des détails concernant le Centre canadien pour la paix, l’ordre et la bonne gouvernance, comme le précise la lettre de mandat de la ministre Gould et du ministre Champagne.

Kerry Diotte, PCC (Edmonton Griesbach, AB)

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

M. Diotte est le vice-président du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis (CEUS) depuis février 2019. Il est également membre de nombreuses associations parlementaires et de nombreux groupes interparlementaires, notamment l’Association parlementaire canadienne de l’OTAN (CANA), la Section canadienne de ParlAmericas (CPAM) et la Section canadienne de l’Association parlementaire du Commonwealth (CCOM). Il a précédemment été le porte-parole adjoint du Parti conservateur du Canada pour le Revenu national et les Services publics et l’Approvisionnement.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

Kerry Diotte a travaillé comme journaliste puis comme conseiller municipal d’Edmonton avant de devenir député fédéral en 2015. Né à Sault Ste. Marie, en Ontario, et ayant fait ses études à l’Université Carleton d’Ottawa, M. Diotte a connu une longue et fructueuse carrière de journaliste, travaillant à la radio, à la télévision, dans des magazines et des journaux. M. Diotte a enseigné le journalisme, écrit un livre sur l’histoire d’Edmonton et été directeur national de l’Association canadienne des journalistes.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

Le 29 janvier 2020, M. Diotte s’est levé pour commémorer les victimes du vol PS752 et a déclaré : « Les autorités iraniennes doivent être transparentes et coopérer au maximum avec les organismes indépendants qui enquêtent sur cette horrible tragédie. Les familles méritent aussi que les restes de leurs êtres chers puissent être rapatriés au Canada dès que possible. Le contraire serait tout à fait inacceptable. Ils ont assez souffert. »

Martin B. Morantz, PCC (Charleswood–St. James–Assiniboia–Headingley, MB)

Principaux intérêts liés à AMC
Rôles parlementaires

Martin Morantz a été élu pour la première fois en octobre 2019. Il a occupé le poste de porte‑parole pour le Revenu national de mars à août 2020. Peu après son élection, il a rejoint les associations parlementaires Canada-Europe et Canada-OTAN, les groupes interparlementaires Canada-Israël et Canada-Italie, l’Association interparlementaire Canada-Royaume-Uni et la délégation canadienne à l’OSCE (décembre 2019-mars 2020). Il fait partie du groupe de travail interparlementaire multipartite pour lutter contre l’antisémitisme en ligne annoncé en septembre 2020.

Participation notable à des comités
Renseignements biographiques

M. Morantz est titulaire d’un baccalauréat en études politiques de l’Université du Manitoba et d’un diplôme de droit de la Osgoode Hall Law School. Avant son élection au Parlement, il a été conseiller municipal au sein du conseil municipal de Winnipeg (2014-2018) où il a présidé la commission des finances et de l’infrastructure. Avant de devenir conseiller municipal, M. Morantz a été avocat pendant 23 ans dans un cabinet de Winnipeg. Il a également présidé Jernat Investment Ltd, une société d’investissement immobilier et de services financiers. Il a siégé au conseil d’administration de nombreux groupes communautaires axés sur la défense et la recherche en matière d’autisme, d’aide à la vie autonome et de nombreux groupes de la communauté juive. Le député Morantz est marié et ils ont un fils.

Renseignements biographiques et déclarations sur des questions précises

Le 8 octobre 2020, le député Morantz s’est levé à la Chambre des communes et a présenté une pétition concernant la persécution des Ouïghours. Il a déclaré : « Elle dit notamment qu'il est clair que le gouvernement chinois a enfreint la Convention des Nations Unies pour la prévention et la répression du crime de génocide. Le Canada ne peut pas rester silencieux face à cette atrocité continue. Les pétitionnaires demandent à la Chambre de reconnaître officiellement que les Ouïghours de Chine subissent un génocide et d'appliquer la Loi de Magnitski dans ce dossier ».

B) Notes d’actualité

Programmation et politique

Réponse du Canada en matière d’aide internationale à la COVID-19 (réponse mondiale, y compris la vaccination)

Messages supplémentaires
Faits et chiffres à l’appui
Contexte

La COVID‑19 a des conséquences sanitaires, sociales et économiques dévastatrices pour les populations du monde entier; on estime que la pandémie va plonger de 88 à 115 millions d’autres personnes dans la pauvreté extrême cette année. La réponse du Canada en matière d’aide internationale à la COVID‑19 est axée sur la lutte contre la pandémie, la gestion des tensions financières et la stabilisation des économies, ainsi que le soutien aux groupes les plus vulnérables et le renforcement de la reprise. Le Canada œuvre en tant que membre du G7 et du G20, et travaille main dans la main avec des partenaires internationaux, dont l’Organisation mondiale de la santé. La réponse du Canada en matière d’aide humanitaire et d’aide au développement est ancrée dans la Politique d’aide internationale féministe, en mettant l’accent sur les plus pauvres et les plus marginalisés du monde et en tenant compte des besoins différents des femmes et des filles. Il est important de souligner qu’outre ses propres efforts d’approvisionnement, le Canada a fait des investissements importants pour veiller à ce que les vaccins, les produits thérapeutiques et les diagnostics liés à la COVID‑19 soient abordables et équitablement distribués dans le monde entier. En mai, le Canada s’est joint à l’accélérateur d’accès aux outils contre la COVID‑19 (ACT), une plateforme essentielle de coopération mondiale sur le développement, la production et la distribution d’interventions médicales sûres et efficaces contre la COVID‑19. Le Canada contribue au Mécanisme COVAX, le pilier en matière de vaccination de l’Accélérateur, à la fois en tant que participant autofinancé et pour acheter des doses de vaccins pour les pays à faible et moyen revenu à l’aide de la garantie de marché.

Fonds réaffectés pour lutter contre la COVID-19

Messages supplémentaires
Faits et chiffres à l’appui

Montant réaffecté par continent

ContinentMontant réaffecté
Afrique – Afrique du Nord3,9 $
Afrique – Afrique subsaharienne337,6 $
Amérique48,1 $
Asie48,0 $
Europe11,1 $
Moyen-Orient25,6 $
A déterminer8,8 $
Total483,0 $

Montant réaffecté par type de partenaire

Type de partenaireMontant réaffecté
Organisations de la société civile canadienne124,0 $
Secteur privé canadien2,7 $
Organisations paragouvernementales canadiennes5,0 $
Organisations de la société civile étrangère40,3 $
Gouvernements étrangers43,0 $
Organisations multilatérales262,9 $
A déterminer5,2 $
Total483,0 $
Contexte

La COVID‑19 a des conséquences sanitaires, sociales et économiques dévastatrices pour les populations du monde entier; on estime que la pandémie va plonger de 88 à 115 millions d’autres personnes dans la pauvreté extrême cette année. La réponse du Canada en matière d’aide internationale à la COVID‑19 est axée sur la lutte contre la pandémie, la gestion des tensions financières et la stabilisation des économies, ainsi que sur le soutien aux groupes les plus vulnérables et le renforcement de la reprise. La réponse du Canada est ancrée dans la Politique d’aide internationale féministe, en mettant un accent particulier sur les plus pauvres et les plus marginalisés du monde, et en tenant compte des besoins différents des femmes et des filles. Le Canada a annoncé qu’il verserait plus de 1,1 milliard de dollars, en plus de réaffecter plus de 483 millions de dollars des ressources existantes, pour soutenir les efforts mondiaux visant à mettre fin à la COVID‑19. Le soutien du Canada sera mis en œuvre par l’intermédiaire de partenaires canadiens, multilatéraux et internationaux.

Vue d’ensemble de la PAIF

Messages supplémentaires – initiatives phares
Faits et chiffres à l’appui
Contexte

La Politique d’aide internationale féministe de 2017 concentre les efforts du Canada sur la prestation d’une aide internationale fondée sur les droits de la personne et inclusive dans six domaines d’action : égalité des genres et renforcement du pouvoir des femmes et des filles; dignité humaine (santé, nutrition, éducation, action humanitaire sensible à la dimension de genre); croissance qui profite à tous; environnement et action climatique; gouvernance inclusive; et paix et sécurité. La Politique engage le Canada à accroître l’efficacité de son aide internationale. Le Canada investit dans l’innovation et la recherche, l’expérimentation, la recherche de nouveaux partenariats et de nouvelles méthodes de travail, et communique mieux ses résultats, ses activités et ses dépenses.

Deux milliards de dollars pour la Politique d’aide internationale féministe :

BUDGET DE 20182018-20192019-20202020-20212021-20222022-2023Cinq ansPermanent
* Les fonds du Partenariat sur l'égalité des genres prévus pour 2021-2022 et 2022-2023 ont été réorientés et décaissés en 2020-2021 (195 millions de dollars).
Régulariser l’aide humanitaire et adopter une approche sensible à l’égalité des genres pour les mesures humanitaires50,0 M $50,0 M $50,0 M $50,0 M $50,0 M $250,0 M $50,0 M $
Éliminer les obstacles au renforcement du pouvoir des filles, des adolescentes et des femmes et adopter une approche intersectionnelle globale120,0 M $210,0 M $321,0 M $408,0 M $483,0 M $1,542,0 M $483,9 M $
Efforts du G7 sur l’éducation des filles50,0 M $75,0 M $75,0 M $25,0 M $25,0 M $250,0 M $ 
Partenariat sur l’égalité des genres* 105,0 M $ 89,0 M $106,0 M $300,0 M $ 
SRHR  216,0 M $249,0 M $307,0 M $772,0 M $300,0 M $
Voix et leadership des femmes / égalité des genres / obstacles au renforcement du pouvoir70,0 M $30,0 M $30,0 M $45,0 M $45,0 M $220,0 M $50,0 M $
Futurs programmes d’AMC     0,0 M $133,9 M $
Mettre en valeur le leadership canadien et déployer l’expertise canadienne47,5 M $25,0 M $31,1 M $37,6 M $39,7 M $180,9 M $39,7 M $
Activités liées à des élections10,0 M $10,0 M $10,0 M $10,0 M $10,0 M $50,0 M $10,0 M $
Aide technique / renforcement des capacités / leadership37,5 M $13,0 M $16,8 M $15,6 M $15,0 M $97,9 M $15,0 M $
Fonds canadien d’initiatives locales 2,0 M $4,3 M $12,0 M $14,7 M $33,0 M $14,7 M $
Augmenter le soutien à l’Afrique subsaharienne20,0 M $15,0 M $14,7 M $20,0 M $27,3 M $97,0 M $27,3 M $
Programmation d’AMC en Afrique subsaharienne20,0 M $10,0 M $9,7 M $10,0 M $15,0 M $64,7 M $15,0 M $
Moins : Présence du CRDI en Afrique francophone 5,0 M $5,0 M $10,0 M $12,3 M $32,3 M $12,3 M $
Moins : Transfert à SPC et TPSGC0,97 M $1,2 M $1,3 M $1,3 M $1,3 M $1,3 M $0,9 M $
Programmation totale proposée236,53293,80410,47514,27598,672,068,57600,0 M $
Le budget de 2019 octroie 100 millions de dollars supplémentaires permanents à compter de 2023-2024       700,0 M $

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Engagements de la politique d’aide internationale féministe (en %)
50 % de l’aide bilatérale au développement international sera consacré aux pays de l’Afrique subsaharienne d’ici 2021-20222017-20182018-20192019-20202020-20212021-2022Commitment
Décaissements48,4 %44,4 %41,7 %16,6 % Cet engagement n’est pas en voie d’être rempli d’ici 2021-2022.
Initiatives opérationnelles   15,1 %21,0 %
Total approuvé   31,6 % 
Initiatives prévues   [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Initiatives opérationnelles et prévues[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Général ou non précisé0,1 %0,0 %0,2 %[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Nouvelles initiatives approuvées pendant l’exercice38,5 %43,8 %45,4 %52,7 % 
15 % de tous les investissements en aide bilatérale au développement international cibleront expressément l’égalité des genres et le renforcement du pouvoir des femmes et des filles d’ici 2021-20222017-20182018-20192019-20202020-20212021-2022Commitment
Décaissements3,1 %5,9 %14,0 %7,9 % Cet engagement est en voie d’être rempli avec les initiatives opérationnelles et prévues.
Initiatives opérationnelles   6,4 %10,9 %
Total approuvé   14,3 % 
Initiatives prévues   [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Initiatives opérationnelles et prévues[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Nouvelles initiatives approuvées pendant l’exercice13,2 %22,6 %27,4 %11,6 % 
95 % des investissements du Canada en aide bilatérale au développement international cibleront ou intégreront l’égalité des genres et le renforcement du pouvoir des femmes et des filles d’ici 2021-20222017-20182018-20192019-20202020-20212021-2022Commitment
Décaissements92,0 %95,7 %96,6 %37,1 % This commitment is on track to be met with operational and planned initiatives,
Initiatives opérationnelles   35,3 %41,3 %
Total approuvé   72,5 % 
Initiatives prévues   [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Initiatives opérationnelles et prévues[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Non codé0,0 %0,0 %0,3 %11,8 %5,9 %
Nouvelles initiatives approuvées pendant l’exercice98,6 %100,0 %99,6 %99,0 % 

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

PAIF/LGBTQ2I

Messages supplémentaires
Mise à jour

La pandémie de COVID‑19 a aggravé les défis auxquels sont confrontées les personnes et la communauté LGBTQ2I dans le monde entier. Conformément à son approche féministe en matière d’aide internationale, le Canada veille à ce que sa réponse à la COVID‑19 soit fondée sur les droits de la personne et inclue les personnes les plus marginalisées et les plus vulnérables. Par exemple, par l’intermédiaire de son programme d’aide internationale visant la communauté LGBTQ2I, Affaires mondiales Canada fournit un soutien financier et pratique d’urgence dans le cadre de la COVID‑19 pour aider la communauté et les organisations LGBTQ2I locales à créer des réponses adaptées aux besoins des personnes qu’elles servent.

Faits et chiffres à l’appui
Contexte

Conformément à la Politique d’aide internationale féministe, Affaires mondiales Canada a travaillé avec la société civile pour veiller à l’inclusion concrète des personnes LGBTQ2I dans ses efforts d’aide internationale. Plus récemment, le Ministère a pris des mesures afin d’accorder la priorité à la mise en œuvre d’une approche féministe qui s’intègre à l’ensemble de ses politiques et de ses programmes, et de tenir pleinement compte des inégalités que vivent les divers groupes. L’approche féministe du Canada adopte une définition élargie de l’égalité des genres qui tient compte des divers facteurs d’identité liés à l’orientation sexuelle, à l’identité et à l’expression sexuelles et aux caractéristiques sexuelles et préconise l’application d’une analyse comparative entre les sexes plus (ACS+), d’une approche fondée sur les droits de la personne et d’une optique intersectionnelle à toutes les initiatives.

À l’occasion de la conférence mondiale de la Coalition pour les droits égaux qui s’est tenue en 2018, le Canada s’est engagé à définir des stratégies pour mieux répondre aux défis auxquels est confrontée la communauté LGBTQ2I au pays et à l’étranger. Cela comprenait un engagement concret avec les personnes LGBTQ2I et les organisations qui les représentent afin de s’assurer qu’elles puissent contribuer aux efforts d’aide internationale du Canada et en profiter. Le programme d’aide internationale LGBTQ2I (30 millions de dollars) est directement issu de cet engagement et s’inspire des besoins et réalités des personnes LGBTQ2I et des organisations qui les représentent.

Politique humanitaire

Messages supplémentaires
Mise à jour

Les répercussions de la COVID‑19 ont réaffirmé les priorités stratégiques énoncées dans la politique de champ d’action intitulée « Une approche féministe : l’égalité des genres dans l’action humanitaire ». Le bilan interne d’AMC des activités liées à la Politique d’aide internationale féministe a permis de déterminer que la mise en œuvre de cette sous-politique était sur la bonne voie.

Faits et chiffres à l’appui
Contexte

Afin de faire progresser l’action humanitaire tenant compte de la question d’égalité des genres, le Canada attend de ses partenaires qu’ils :

  1. mettent en œuvre des politiques d’égalité des genres dans le cadre des activités sur le terrain;
  2. comprennent davantage les besoins des bénéficiaires;
  3. comblent les lacunes en matière d’égalité des genres dans les programmes d’aide humanitaire;
  4. renforcent le pouvoir des femmes et des filles par le leadership et la participation.
Dépenses d’aide humanitaire de 800 millions de dollars par exercice (en moyenne 780 millions de dollars de 2013-2-14 à 2016-2017
Cible totale : 800 millions de dollars par exercice
2017-20182018-20192019-20202020-20212021-2022Commitment
Décaissements885892856443 Cet engagement est en voie d’être rempli avec les initiatives opérationnelles et prévues.
Initiatives opérationnelles et prévues   [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
D’autres programmes seront prévus   0 
Total   [CAVIARDÉ] 

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Niveaux d’APD

Messages supplémentaires
Mise à jour
Faits et chiffres à l’appui

Santé et droits sexuels et reproductifs (SDSR)

Messages supplémentaires
Faits et chiffres à l'appui
Contexte

La santé et les droits sexuels et reproductifs comprennent : une éducation sexuelle complète adaptée à l'âge; des services de santé reproductive; des services de planification familiale, y compris la contraception; des services d'avortement sécuritaires et légaux et des soins post-avortement; et la prévention et la gestion du VIH/sida et des infections sexuellement transmissibles et autres maladies.

Objectifs actuels et futurs en matière de santé et de SDSR

Santé mondiale
Cible totale : 1,4 milliard de dollars par an (700 millions de dollars par an pour la SDSR) d’ici 2023, jusqu’en 2030
2020-20212021-20222022-20232023-20242024-20252025-20262026-2027Après 2027Commitment
Décaissements – Santé204       Cet engagement est en voie d’être rempli avec les initiatives prévues et les appels de proposition actuels.
Initiatives opérationnelles et prévues – Santé[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Évaluation OMS Non engagé0131313131313 
Financement IDA (8 %)39393939393939 
D’autres programmes restent à planifier  123292368559598 
Total – Santé[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Décaissements – SDSR129       
Initiatives opérationnelles et prévues – SDSR[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
D’autres programmes restent à planifier  19442502620684 
Total – SDSR[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
D’autres programmes restent à planifier  1437358711 1791 282 
Total[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ] 

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Soutien aux institutions démocratiques (en prenant note de la transition au Soudan)

Mise à jour

Dans le contexte de la pandémie de COVID‑19, les systèmes démocratiques de gouvernance fondés sur une capacité institutionnelle solide, la transparence et la confiance sont les meilleurs moyens de surmonter la crise et de rebâtir de manière durable.

Faits et chiffres à l’appui
Contexte

Le soutien à la démocratie, et aux institutions démocratiques en particulier, est au cœur des intérêts stratégiques du Canada en matière de politique étrangère et se reflète dans le champ d’action de la « Gouvernance inclusive » de la Politique d’aide internationale féministe, qui traite des droits de la personne, de l’accès à la justice, de la participation à la vie publique et des services publics qui fonctionnent pour tous.

Le Canada soutient depuis longtemps les pays et les collectivités qui œuvrent à renforcer leurs démocraties. Nous adoptons une approche globale en investissant dans les institutions du secteur public pour veiller à ce qu’elles soient efficaces, responsables, transparentes et adaptées, et en favorisant la pleine participation de tous les citoyens aux processus et institutions décisionnels qui ont une incidence sur leur vie, en mettant l’accent sur l’inclusion des femmes, des jeunes et des groupes marginalisés.

Le PSOP finance actuellement deux projets au Soudan en vue d’accroître la participation concrète des femmes au processus de transition politique :

Programmes de financement novateurs du Canada

Messages supplémentaires
Mise à jour

Le 10 octobre 2020, le Globe and Mail a publié un article reprochant aux programmes de financement novateurs du Canada d’avoir accompli trop peu depuis leur annonce dans le budget de 2018. Le 21 août 2020, une critique similaire du PIAI été publiée dans le Hill Times par Ingénieurs sans frontières, une organisation également mentionnée dans l’article du Globe and Mail d’octobre.

Contexte

1,59 milliard de dollars pour le Programme d’innovation en aide internationale et le Programme de prêts souverains :

Budget de 20182018-20192019-20202020-20212021-20222022-2023Total sur cinq ans
Programme d’innovation en aide internationale56,9 M $145,1 M $200,6 M $257,9 M $314,2 M $974,7 M $
Programme de prêts souverains0,0 M $60,5 M $154,0 M $201,0 M $201,0 M $616,5 M $
Total des programmes proposés56,9 M $205,6 M $354,6 M $458,9 M $515,2 M $1,591,2 M $

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Financement du climat

Messages supplémentaires
Mise à jour

Au cours de l’été 2020, Affaires mondiales Canada a organisé des consultations publiques afin de recueillir des commentaires sur la stratégie de versement du financement climatique international du Canada de l’exercice 2021/2022 à l’exercice 2025/2026. Le Ministère publiera un résumé des résultats des consultations en novembre.

Faits et chiffres à l’appui
Contexte

Le Canada fournit 2,65 milliards de dollars sur cinq ans pour aider les pays en développement à se transformer en des économies à faible émission de carbone et résistantes au changement climatique. Ce financement vise notamment à réduire considérablement les émissions de gaz à effet de serre, à soutenir les mesures d’adaptation et à mobiliser de nouveaux capitaux du secteur privé pour l’action mondiale en faveur du climat.

La part de l’engagement d’Affaires mondiales Canada est de 2,59 milliards de dollars, et le reste relève d’Environnement et Changement climatique Canada.

Changement climatique, COP21
Cible totale : 2,65 milliard de dollars, dont 2,59 milliard d’AMC, de 2015-2016 à 2020-2021
2015-20162016-20172017-20182018-20192019-20202020-2021TotalCommitment
Décaissements1682523494265261361 858Cet engagement est en voie d’être rempli avec les initiatives opérationnelles et prévues.
Initiatives opérationnelles et prévues     [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
D’autres programmes restent à planifier       
Total      [CAVIARDÉ]

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

FinDev Canada

Messages supplémentaires
Faits et chiffres à l’appui
Contexte

[CAVIARDÉ].

Un accord est en place entre AMC et FinDev Canada (3,8 millions de dollars sur quatre ans) pour soutenir le mécanisme d’aide technique de FinDev Canada. Ce mécanisme vise à répondre à une série de besoins en matière de renforcement des capacités des entreprises dans lesquelles FinDev Canada investit, notamment dans les domaines de l’égalité des genres; de la gouvernance et du leadership; du développement du capital humain; et du ciblage, de la mesure et de l’évaluation des répercussions.

CRDI

Messages supplémentaires
Mise à jour
Faits et chiffres à l’appui

Asie

Afghanistan

Messages supplémentaires
Mise à jour
Faits et chiffres à l’appui
Annexe 1 : Décaissements prévus et effectifs pour l’exercice 2020-2021
PaysProgrammeTotal des ressources allouéesDépenses réelles
AfghanistanProgramme de développement de l’Afghanistan126 030 000 $39 308 997 $
AfghanistanProgrammes de paix et de stabilisation27 746 039 $0
AfghanistanAide humanitaire à l’Afghanistan15 600 000 $15 600 000 $
Total169 376 039 $54 908 997 $

Aide à la Chine (et référence et position sur l’Initiative des nouvelles routes de la soie)

Messages supplémentaires
Contexte

Chine : (2018-2019 – bilatéral : 3,4 millions de dollars / multilatéral : 37,61 millions de dollars / total : 41,02 millions de dollars)

Crise des Rohingyas (intervention du Canada en matière de développement et d’aide humanitaire)

Messages supplémentaires
Mise à jour

Le secrétaire parlementaire Oliphant a représenté le Canada à la conférence des donateurs sur la crise des Rohingyas, qui s’est tenue le 22 octobre et qui a permis de recueillir 597 millions de dollars américains en nouvelles promesses de dons pour le plan de réponse conjoint au Bangladesh. Il a affirmé que le Canada continuait de jouer un rôle de premier plan dans la crise et a présenté des plans pour une stratégie pluriannuelle renouvelée.

Faits et chiffres à l’appui

Résumé des fonds engagés à ce jour :

Aide au développementFonds engagés
Aide au développement du Bangladesh (Communautés d’accueil autour de Cox’s Bazar)82 000 000 $
Aide au développement du Myanmar73 000 000 $
Aide humanitaire au Bangladesh et au Myanmar95 552 093 $
Programmes de paix et de stabilisation21 000 000 $
Total271 552 093 $

Nous estimons que nous aurons dépensé la totalité des 300 millions de dollars d’ici mars 2021.

Contexte

En août 2017, des attaques systématiques, à grande échelle et ciblées par les forces de sécurité du Myanmar ont provoqué la fuite de plus de 711 000 Rohingyas de l’État de Rakhine vers Cox’s Bazar, au Bangladesh. La rapidité et l’ampleur de l’afflux ont entraîné des besoins humanitaires importants à Cox’s Bazar. Les conditions dans les camps de réfugiés et les installations dans la région demeurent difficiles. Les répercussions sur les communautés d’accueil bangladaises sont importantes, par exemple : la perte de terres, de forêts, d’accès aux soins de santé et de moyens de subsistance.

La situation humanitaire et sécuritaire dans l’État de Rakhine est également désastreuse. On estime à 600 000 le nombre de Rohingyas restants à Rakhine, et à plus de 120 000 le nombre de personnes confinées dans des camps de personnes déplacées depuis les flambées de violence interethnique de 2012. Ils sont tous confrontés à des systèmes et des attitudes discriminatoires qui limitent leur accès aux services de santé essentiels, à la liberté de mouvement, aux voies d’accès à la citoyenneté et aux moyens de subsistance, ce qui rend d’autant plus importantes les recommandations de la CCR, qui n’ont toujours pas été mises en œuvre.

Le 23 mai 2018, le Canada a publié sa stratégie d’intervention face à la crise des Rohingyas au Myanmar et au Bangladesh, laquelle consacre 300 millions de dollars sur trois ans (2018-2021) aux besoins humanitaires, de développement, de paix et de stabilisation, et au soutien des développements politiques positifs au Myanmar et la responsabilisation. Le Canada s’emploie à renouveler sa stratégie pluriannuelle sur les Rohingyas.

Au Myanmar, pour mettre en œuvre la stratégie du Canada, des projets de développement bilatéraux soutiennent les efforts visant à lutter contre la violence sexuelle et sexiste et à faire progresser la santé et les droits sexuels et reproductifs; à renforcer la voix et le leadership des femmes; et à renforcer la gouvernance inclusive et la capacité des organisations locales de la société civile.

Au Bangladesh, le financement bilatéral du développement comprenait 82 millions de dollars pour aider à atténuer l’incidence de la crise sur les communautés d’accueil dans des domaines tels que les moyens de subsistance, la cohésion communautaire, l’éducation et l’environnement, ainsi que pour des possibilités d’apprentissage à long terme et des services de santé pour les réfugiés.

Les programmes de paix et de stabilisation ont contribué à une réconciliation nationale pacifique, notamment par la participation concrète des femmes au processus de paix et aux activités de consolidation de la paix.

Décaissements pour la dernière année de la stratégie pour les Rohingyas (2020-2021)
PaysProgrammeRessources existantes (budget alloué à la stratégie)Dépenses réelles (Exercice 2020-2021)
MyanmarProgramme de développement du Myanmar20 300 000 $20 300 000 $
BangladeshProgramme de développement du Bangladesh6 000 000 $1 560 000 $
TotauxTotaux de développement26 300 000 $22 560 000 $
Programmes de paix et de stabilisation8 000 000 $1 500 000 $
Aide humanitaire au Bangladesh et au Myanmar40 000 000 $11 552 093 $
Total74 300 000 $34 912 093 $

Amérique latine

Venezuela

Messages supplémentaires
Mise à jour

Lors de la réunion ministérielle du processus de Quito et du groupe des amis du 19 octobre 2020, la ministre Gould a annoncé que le Canada dirigerait un plan d’action visant à maintenir et à accroître l’attention internationale sur la crise des migrants et des réfugiés au Venezuela, à aider à garantir que les promesses des donateurs soient honorées et à évaluer les possibilités de futures promesses, le point culminant étant que le Canada accueillera une conférence au cours du deuxième trimestre de 2021.

En raison des actions du régime, les prochaines élections parlementaires du 6 décembre ne seront ni libres ni équitables, mais serviront au régime à saisir le contrôle de l’Assemblée nationale dirigée par l’opposition, la dernière institution démocratique subsistante au Venezuela.

Faits et chiffres à l’appui

Moyen-Orient

Stratégie au Moyen-Orient

Messages supplémentaires
Faits et chiffres à l’appui
Contexte

La stratégie pour le Moyen-Orient a été lancée en février 2016 (et renouvelée en 2019) pour répondre à la menace de Daech et à l’impact des réfugiés en Irak et en Syrie.

La stratégie permet d’investir jusqu’à 3,5 milliards de dollars sur cinq ans pour aider à mettre en place les conditions de sécurité et de stabilité nécessaires, atténuer la souffrance humaine, permettre des programmes de stabilisation menés par des civils et soutenir la gouvernance et les efforts à plus long terme pour renforcer la résilience. [CAVIARDÉ].

Le financement global d’AMC dans les quatre piliers de la stratégie comprend jusqu’à 1,4 milliard de dollars d’aide humanitaire, 470 millions de dollars d’aide au développement, 269 millions de dollars pour des programmes de sécurité et de stabilisation et 91 millions de dollars pour soutenir l’engagement diplomatique.

Le MDN, le SCRS, le CST et la GRC sont des partenaires clés dans la réalisation des objectifs du Canada dans le cadre de la stratégie.

Engagement sur la stratégie au Moyen-Orient :

Stratégie pour le Moyen Orient2016-17 à 2018-192019-20 à 2020-21Total sur cinq ans
Aide humanitaire840,0 M $560,0 M $1 400,0 M $
Aide au développement270,0 M $200,0 M $470,0 M $
Sécurité145,0 M $124,2 M $269,2 M $
F et E90,0 M $41,8 M $131,8 M $
Total AMC1 345,0 M $926,0 M $2 271,0 M $
MDN (opération Impact)806,3 M $442,0 M $1 248,3 M $
Renseignement (SCRS et CST)31,8 M $25,9 M $57,7 M $
Total Canada2 183,0 M $1 394,0 M $3 577,0 M $
Stratégie pour le Moyen Orient (portion d’aide au développement)
Cible totale : 270 M$ de 2016-2017 à 2018-2019
2016-20172017-20182018-2019TotalCommitment
Décaissements809595270Cet engagement a été rempli.
Total   270
Stratégie pour le Moyen Orient (portion d’aide au développement)
Cible totale : 200 M$ de 2019-2020 à 2020-2021
2019-20202020-2021TotalCommitment
Décaissements[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]Cet engagement est en voie d’être rempli avec les initiatives opérationnelles et prévues.
Initiatives opérationnelles et prévues [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
D’autres programmes restent à planifier  0
Total  [CAVIARDÉ]
Stratégie pour le Moyen Orient (portion d’aide humanitaire)
Cible totale : 840 M$ de 2016-2017 à 2019
2016-20172017-20182018-20192019/2020TotalCommitment
Décaissements280280263[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]Cet engagement a été rempli.
Total    [CAVIARDÉ]
Stratégie pour le Moyen Orient (portion d’aide humanitaire)
Cible totale : 560 M$ de 2019-2020 à 2020-2021
2019/20202020-2021TotalCommitment
Décaissements[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]Cet engagement est en voie d’être rempli avec les initiatives opérationnelles et prévues.
Initiatives opérationnelles et prévues [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
D’autres programmes restent à planifier  0
Total  [CAVIARDÉ]

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Liban et aide canadienne

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Mise à jour

Le 4 août 2020, une explosion massive provenant du port de Beyrouth a dévasté des parties centrales de la ville. Cette catastrophe s’ajoute à plusieurs crises complexes auxquelles le Liban était confronté avant l’explosion, notamment le quasi-effondrement de l’économie et la pandémie actuelle de COVID‑19. L’explosion a aggravé les répercussions de ces multiples crises sur les populations les plus vulnérables, entraînant une augmentation alarmante du nombre de personnes et de ménages tombant dans la pauvreté, et réduisant davantage leur accès à la nourriture, à l’emploi, aux revenus, à l’éducation, aux soins de santé et au logement.

Faits et chiffres à l’appui
Contexte
Secours humanitaire à la suite de l’exposition à Beyrouth
Cible totale : 30 M$, dont 8 M$ du Fonds de contrepartie
2020-20212021-2022TotalCommitment
Décaissements20 20 
Fonds de contrepartie8 8
Initiatives opérationnelles et prévues[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Fonds de contrepartie000
Autres programmes à planifier  0
Total  [CAVIARDÉ]

Ces montant peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Allégations concernant le financement canadien consacré à l’Union des comités du travail agricole

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Contexte

Aide humanitaire du BCAH liée à la COVID-19 en Cisjordanie et à Gaza

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Contexte

Le Canada reconnaît que la crise de la COVID‑19 exacerbe les besoins préexistants des Palestiniens pauvres et vulnérables et que, collectivement, nous devons éviter de détourner les ressources de ces besoins dans le cadre de notre réponse à la COVID‑19. Le Canada demeure déterminé à fournir une aide axée sur le renforcement du pouvoir des femmes et des filles palestiniennes, une croissance économique qui fonctionne pour tous et une gouvernance inclusive.

Le Canada dispose d’un important programme d’aide humanitaire en Cisjordanie et à Gaza, qui aide les Palestiniens particulièrement vulnérables, tels que les femmes et les filles, les survivants de la violence sexiste et les communautés marginalisées, à accéder à la nourriture, aux soins de santé, à l’eau et aux services d’assainissement, par l’intermédiaire d’organismes expérimentées des Nations Unies et d’organisations de la société civile.

Le Canada fait preuve d’une diligence accrue pour tous les financements de l’aide internationale aux Palestiniens. Cela comprend une surveillance continue, des visites régulières sur place, un processus de sélection systématique et des dispositions antiterroristes strictes dans les accords de financement.

UNWRA

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Faits et chiffres à l’appui
Contexte

L’UNRWA est confrontée à des contraintes financières et un environnement instable. Depuis 1948, elle a pour mandat de fournir des services de base (y compris la santé, l’éducation, l’aide humanitaire) aux réfugiés palestiniens dans cinq régions : la Cisjordanie, Gaza, le Liban, la Syrie et la Jordanie. L’UNRWA est la seule organisation des Nations Unies chargée de fournir de l’aide à plus de cinq millions de réfugiés palestiniens vivant dans ces cinq régions.

L’UNRWA est presque entièrement financée par des contributions volontaires et reçoit un large soutien international. Au cours des dernières années, l’UNRWA a été confrontée à un important déficit de financement, en partie en raison de l’augmentation des besoins et de la baisse des contributions. Le budget-programme de l’UNRWA (éducation, santé et services sociaux) et l’appel d’urgence pour l’aide humanitaire à la Cisjordanie et à Gaza sont actuellement confrontés à des déficits et à des réductions de services. Certains services ont déjà été réduits et, sans ressources supplémentaires importantes, d’autres pourraient devoir être supprimés, ce qui aurait des conséquences humanitaires négatives.

C) Mandat

Programme à l’horizon 2030 : Augmenter l’aide internationale au développement jusqu’en 2030

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Faits et chiffres à l’appui

Contexte

PAIF/Réalisations et objectifs

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Faits et chiffres à l’appui

Éducation mondiale

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Mise à jour

Depuis le début de la pandémie de COVID‑19, le Canada a fourni 7,5 millions de dollars supplémentaires pour l’éducation à partir de fonds tirés du compte de crise et étudie les possibilités de financer d’autres programmes d’éducation grâce à l’annonce récente du PM d’un montant supplémentaire de 400 millions de dollars pour la réponse internationale du Canada à la COVID-19.

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

La plupart des gouvernements du monde entier ont temporairement fermé leurs établissements d’enseignement pour aider à contenir la propagation de COVID‑19. À l’apogée de la pandémie, les fermetures d’écoles ont touché plus de 90 % des personnes fréquentant des écoles dans le monde, de l’enseignement pré-primaire à l’enseignement supérieur. Près de 200 millions de ces enfants, adolescents et jeunes vivent dans des pays en proie à des crises humanitaires, par exemple dans les camps de réfugiés où les filles ont deux fois moins de chances que les garçons d’être inscrites à l’enseignement secondaire. Dans le monde, 258 millions d’enfants, d’adolescents et de jeunes n’étaient pas scolarisés avant le début de la pandémie.

Les crises telles que la COVID‑19 peuvent avoir une incidence dévastatrice sur les filles, et les adolescentes en particulier. Nous savons, depuis la crise Ebola, que les filles risquent davantage de ne pas retourner à l’école une fois rouverte et que les fermetures ont entraîné une augmentation des mariages d’enfants, précoces et forcés, des relations sexuelles transactionnelles pour couvrir les besoins de base et des grossesses d’adolescentes. Par exemple, selon le FNUAP, les interruptions des programmes de lutte contre les pratiques néfastes pourraient entraîner 13 millions de cas supplémentaires de mariages d’enfants, précoces et forcés au cours de la prochaine décennie. Le Fonds Malala estime que 10 millions de filles en âge de fréquenter l’école secondaire ne retourneront pas à l’école à cause de la pandémie. D’autres facteurs de marginalisation, tels que le déplacement, créent des obstacles encore plus importants à l’éducation. Au niveau secondaire, il n’y a qu’environ sept filles réfugiées pour dix garçons réfugiés scolarisés.

10 % de l’aide bilatérale au développement international est axée sur le secteur de l’éducation2019-20202020-20212021-20222022-20232023-2024Commitment
Débours11,8 %3,0 %   Cela comprend les programmes d’aide bilatérale dans le secteur de l’éducation, mais exclue le nouveau secteur humanitaire « Éducation en situations d’urgence » (72012).
On ne prévoit pas atteindre cet objectif en 2020-2021 en raison de la réaffectation de fonds à la lutte contre la COVID 19.
Initiatives opérationnelles 4,5 %6,6 %6,3 %6,1 %
Total approuvé11,8 %7,4 %6,6 %6,3 %6,1 %
Initiatives prévues [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Initiatives opérationnelles et prévues[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Non codé0,1 %6,0 %4,0 %3,9 %3,7 %
Nouvelles initiatives approuvées pendant l’exercice financier12,3 %22,4 %   

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Programmes de financement novateurs

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Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Améliorer la gestion de l’aide internationale au développement pour obtenir une meilleure efficacité, transparence et responsabilité

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Mise à jour

La réponse du Ministère à la pandémie vise notamment à : obtenir des fonds supplémentaires par l’intermédiaire du Compte de crises, offrir une souplesse accrue aux partenaires pour réorienter les projets en cours, élaborer des processus d’approbation plus légers pour les projets liés à la COVID‑19, fournir des réponses ciblées aux groupes plus vulnérables tels que les femmes, et renforcer l’engagement avec les partenaires.

Des séances régulières de sensibilisation avec les partenaires canadiens ont eu lieu afin d’étudier la meilleure façon de faciliter les activités de programmation sur le terrain. Cette collaboration a débouché sur une série de mesures souples visant à aider les organisations canadiennes à mettre en œuvre des programmes pendant la pandémie. Par exemple, compte tenu des difficultés financières entraînées par la COVID‑19, AMC a réduit l’exigence de retenir 5 % de la valeur des projets à des fins de retenue, appuyant ainsi davantage ses partenaires pendant cette période sans précédent.

Faits et chiffres à l’appui

Égalité des genres au cœur des investissements du Canada en matière d’aide internationale

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Mise à jour

Le Canada a réalisé d’importants progrès dans la mise en œuvre de la Politique d’aide internationale féministe, notamment par sa réponse à la COVID-19, et est en bonne voie d’atteindre ses objectifs stratégiques.

Le Canada continue également de faire valoir son leadership et de faire progresser ses priorités en matière d’égalité des genres dans les forums multilatéraux, notamment le Réseau du CAD sur l’égalité homme-femme de l’OCDE, dont il est membre du bureau, l’Association internationale de développement (AID) de la Banque mondiale, la Commission de la condition de la femme des Nations Unies et d’autres plateformes et initiatives multilatérales telles que le Forum sur l’égalité des générations, qui marque le 25e anniversaire de la 4e Conférence mondiale de Beijing sur les femmes.

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

La lettre du mandat de la ministre pour 2019 énonce l’engagement à maintenir l’accent sur l’égalité des genres dans tous les investissements du Canada en matière d’aide internationale afin de s’attaquer aux inégalités économiques, politiques et sociales qui empêchent les personnes de réaliser leur plein potentiel. La Politique d’aide internationale féministe fixe l’objectif de s’assurer que d’ici 2021-2022, pas moins de 95 % des investissements bilatéraux du Canada en matière d’aide au développement international d’Affaires mondiales cibleront (15 %) ou intégreront (80 %) l’égalité des genres et le renforcement du pouvoir des femmes et des filles.

95 % des investissements du Canada en matière d’aide bilatérale au développement international cibleront ou intégreront l’égalité des genres et le renforcement du pouvoir des femmes et des filles d’ici 2021-20222017-20182018-20192019-20202020-20212021-2022Commitment
Débours92,0 %95,7 %96,6 %37,1 %92,0 %Cet engagement est en bonne voie d’être réalisé, avec les initiatives opérationnelles et prévues.
Initiatives opérationnelles   35,3 %41,3 %
Total approuvé   72,5 % 
Initiatives prévues   [CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Initiatives opérationnelles et prévues[CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ][CAVIARDÉ]
Non codé0,0 %0,0 %03 %11,8 %5,9 %
Nouvelles initiatives approuvées pendant l’exercice financier98,6 %100,0 %99,6 %99,0 % 

Ces montants peuvent être appelés à changer au fil du temps et de la programmation.

Droits des femmes et adaptation au changement climatique

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Mise à jour

Au cours de l’été 2020, le gouvernement a organisé des consultations publiques pour obtenir des commentaires sur son approche du financement international du climat après 2020, et il a l’intention de publier un rapport sur « Ce que nous avons entendu » à l’automne de 2020.

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Réduction de la répartition inégale du travail de soins rémunéré et non rémunéré

Mise à jour

Depuis que l’engagement de la lettre de mandat a été publié en décembre 2019, les efforts se sont d’abord concentrés sur l’élaboration d’une démarche de mise en œuvre. Cette stratégie est en cours de finalisation à l’interne et les efforts se tournent maintenant vers la mise en œuvre.

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Les économies mondiales comptent sur le travail de soins pour croître et prospérer, mais il demeure non reconnu et sous-évalué. Ce travail est effectué en grande majorité par des femmes et des jeunes filles, ce qui a une incidence sur leur bien-être, porte atteinte à leurs droits et touche leur capacité de participer à l’économie sur un pied d’égalité et en tirer profit. La question du travail de soins rémunéré et non rémunéré concerne tous les domaines d’action, toutes les régions et tous les ODD, et exige un engagement qui s’attaquera aux causes profondes de cette inégalité. La Politique d’aide internationale féministe du Canada reconnaît explicitement que le fardeau des soins est un problème qui requiert notre attention.

La pandémie a davantage mis en évidence la nature inestimable et essentielle du travail de soins pour nos sociétés. Si les femmes jouent un rôle essentiel dans la réponse à la pandémie mondiale de COVID‑19, elles subissent également des répercussions sanitaires, économiques et sociales disproportionnées, et ces répercussions auront des effets à long terme. Dans le contexte actuel, il est encore plus nécessaire de trouver des solutions novatrices pour reconnaître, réduire et redistribuer plus équitablement le travail de soins à mesure que nous progressons. Dans le cadre de nos efforts pour favoriser une reprise économique mondiale après la pandémie, nous devons également créer un espace pour que l’économie des soins puisse s’épanouir en tant que bien social qui profite à tous. Le Canada continuera de chercher des occasions de promouvoir sa vision et de faire preuve de leadership en rehaussant le profil de cette question et en suscitant un soutien à cet égard.

Centre canadien pour la paix, l’ordre et et la bonne gouvernance

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l'appui

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