Accord de libre-échange Canada-Corée du Sud (ALECC)
Le 3 décembre 2014, le ministre du Commerce international, l’honorable Ed Fast, a annoncé que la Loi sur la croissance économique et la prospérité — Canada-Corée avait reçu la sanction royale. La Corée du Sud a complété le processus législatif pour l'ALECC le 2 décembre 2014. Les procédures internes pour la mise en oeuvre de l’ALECC ayant été complétées dans les deux pays, l’accord est entré en vigueur le 1er janvier 2015.
Voici ce qu’on en dit :
« La Canadian Cattlemen’s Association félicite les gouvernements du Canada et de la Corée pour avoir assuré rapidement la ratification, par leurs parlements respectifs, de l’Accord de libre-échange Canada-Corée (ALECC), et pour avoir établi la date d’entrée en vigueur de l’Accord au 1er janvier 2015. »
- Canadian Cattlemen’s Association
« Je me réjouis de constater que l’ALECC entrera en vigueur à temps pour restaurer la position concurrentielle du bœuf canadien sur le marché coréen. Cet accord signale aux acheteurs coréens qu’ils peuvent se remettre à acheter du bœuf canadien tout en lui assurant une position concurrentielle à long terme. »
- Dave Solverson, président, Canadian Cattlemen’s Association
« Cereals Canada appuie fermement le programme commercial du gouvernement du Canada. La prospérité future de ce secteur essentiel de l’économie canadienne dépend d’un accès libre et prévisible aux marchés internationaux. Ce premier accord dans la région stratégique de l’Asie-Pacifique contribuera à ouvrir ce marché important en plein essor.
« L’ouverture de nouveaux marchés profitera non seulement aux agriculteurs et à l’industrie à court terme, mais elle fera aussi du Canada un choix attrayant pour investir dans l’innovation et le développement, rehaussant notre avantage concurrentiel à long terme. »
Cam Dahl, président, Cereals Canada
« Il s’agit d’une grande nouvelle pour l’ensemble de la chaîne de valeur de l’orge. L’ALECC permettra aux membres de l’industrie et aux agriculteurs canadiens de profiter d’occasions d’exportation accrues et de renforcer la présence canadienne en Asie grâce aux exportations. La Corée du Sud est un marché prioritaire pour notre industrie. La mise en œuvre rapide de cet accord augmentera notre avantage concurrentiel grâce à l’accès à ce marché. »
Brian Otto, président, Conseil de l’orge du Canada
« Nous applaudissons le Parlement pour sa coopération dans la mise en œuvre de cet accord. Les agriculteurs sont impatients de pouvoir profiter des retombées positives de l’ALECC. Les produits canadiens du canola, y compris les graines et l’huile, seront maintenant assujettis aux mêmes modalités tarifaires que celles de nos concurrents comme les États-Unis et l’Australie. »
Brett Halstead, président, Canadian Canola Growers Association
« Il est encourageant de voir l’entrée en vigueur du premier accord de libre-échange du Canada dans la région de l’Asie-Pacifique, ainsi que la progression dans les négociations d’autres dossiers commerciaux, notamment le Partenariat transpacifique et l’accord de partenariat économique entre le Canada et le Japon. Ces accords contribueront à améliorer l’accès aux marchés pour nos agriculteurs. »
Rick White, PDG, Canadian Canola Growers Association
« La conclusion de l’ALECC était d’une importance capitale pour le secteur canadien du porc. La Corée du Sud a depuis longtemps reconnu la qualité de notre porc, et nous sommes impatients de récupérer les parts de marché que nous avons perdues ces dernières années.
« L’absence d’un accord de libre-échange avec la Corée causait des préjudices de plus en plus graves à l’industrie canadienne du porc en raison de niveaux tarifaires désavantageux, comparés à ceux dont bénéficiaient tous nos principaux concurrents, dont les États-Unis, l’Union européenne et le Chili, lesquels avaient déjà des accords de libre-échange avec la Corée du Sud. »
Jean-Guy Vincent, président, Conseil canadien du porc
« Cet accord se traduira pour les malteurs canadiens non seulement par une meilleure position concurrentielle grâce à la stabilité de leurs exportations, mais également, nous le croyons, par des ventes accrues à l’avenir. La suppression des droits de douane imposés sur l’orge et la libéralisation des échanges connexes à l’échelle mondiale sont extrêmement importantes pour notre industrie, si bien que tout accord qui contribue à l’avancement du programme commercial international du gouvernement du Canada constitue une bonne nouvelle. »
Phil de Kemp, président, Association de l’industrie brassicole du Canada
Ce qu’on dit à propos de l'Accord :
Associations de gens d'affaires
« Nous appuyons l’ambitieux programme du gouvernement pour le commerce international, y compris cet accord de libre-échange avec la Corée du Sud ainsi que l’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne. Nous sommes heureux de l’accès accru aux marchés pour les produits alimentaires de grande qualité fabriqués au Canada par nos compagnies membres. L’Accord de libre-échange Canada-Corée pourrait ouvrir des portes aux entreprises canadiennes qui veulent prendre de l’expansion, par choix ou par nécessité, au-delà de nos frontières. »
Produits alimentaires et de consommation du Canada (PACC)
« Le marché sud-coréen offre des débouchés importants aux membres de notre grappe océanologique locale représentée par OceansAdvance. Les technologies océanologiques de nos entreprises sont parmi les plus novatrices dans l’économie bleue mondiale. Qui plus est, les capacités de recherche et de formation de Terre-Neuve-et-Labrador en matière de technologie marine, conjuguées à une infrastructure de R.-D. extrêmement diversifiée, sont reconnues dans le monde entier. L’intérêt de la Corée du Sud pour la recherche marine et l’océanologie s’avérera précieuse pour entreprendre des collaborations et des échanges commerciaux entre nos secteurs océanologiques respectifs. Comme il s’agit du premier accord de libre-échange du Canada dans la région de l’Asie-Pacifique, OceansAdvance voit là l’occasion d’explorer le marché sud-coréen, avec l’espoir d’étendre ses prospections à l’ensemble de la région de l’Asie-Pacifique. »
Barry Snow, directeur administratif, OceansAdvance Inc.
« Une économie prospère nécessite impérativement une plus grande ouverture et une diversification accrue des relations économiques et commerciales entre les États. À ce titre, la conclusion d’un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud constitue une bonne nouvelle. Cet accord contribuera à une plus grande mobilité des biens et des personnes, et favorisera l’investissement ainsi que la création et le maintien d’emplois de qualité partout au pays. Par ailleurs, des efforts de formation et d’information seront nécessaires pour permettre aux employeurs du Québec et du Canada de profiter encore davantage des nouvelles occasions d’affaires qui s’offriront dans les secteurs d’activité stratégiques où ils détiennent déjà un avantage relatif et une expertise reconnue. »
Yves-Thomas Dorval, président, Conseil du patronat du Québec
« La stratégie de diversification des marchés d’exportation des entreprises canadiennes doit reposer sur un accès préférentiel aux marchés de grande envergure. L’accord de libre-échange avec la Corée du Sud fournira un avantage commercial à nos entreprises exportatrices dans un pays qui connaît un rythme de croissance phénoménal. Nous félicitons le gouvernement du Canada d’avoir posé ce geste stratégique qui répond directement à la demande du milieu des affaires. »
Michel Leblanc, président et chef de la direction, Chambre de commerce du Montréal métropolitain
« La Chambre appuie l’Accord de libre-échange Canada-Corée, qui profitera à l’économie dynamique du Manitoba, et ce, dans tous les secteurs. Nous espérons collaborer avec le gouvernement et nos membres sur les nouvelles opportunités que cet accord offre. »
Chuck Davidson, président-directeur général, Chambres de commerce du Manitoba
« Le Business Council of British Columbia a soutenu vigoureusement l’élaboration d’un accord commercial bilatéral avec la Corée du Sud. Nous croyons qu’un tel accord permettra à davantage d’entreprises de la Colombie-Britannique d’être présentes et de vendre leurs produits et services en Corée du Sud, qui constitue à la fois un vaste marché et un des pays les plus prospères d’Asie. Plusieurs secteurs profiteront de l’Accord de libre-échange Canada-Corée, notamment ceux des produits forestiers, de l’agroalimentaire, de la technologie de pointe, des mines et de l’éducation postsecondaire. »
Jock Finlayson, vice-président à la direction et agent politique principal, Business Council of British Columbia
« L’accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud est une victoire pour presque tous les secteurs et toutes les régions de la Colombie-Britannique. Une multitude de nos entreprises peuvent en tirer profit, qu’il s’agisse de l’industrie du gaz naturel dans le nord-est de la province, des industries forestières du littoral et de l’intérieur, des exportateurs de poissons et de fruits de mer de la côte et de l’île, de l’industrie agricole et agroalimentaire de l’Okanagan et de la vallée du Fraser, ou des fournisseurs de services informatiques et professionnels de la vallée du bas Fraser. La réduction des obstacles tarifaires et non tarifaires avec la Corée du Sud procurera à nos entreprises un avantage concurrentiel important dans l’accès à ce grand marché émergent. De plus, un accord commercial avec la Corée du Sud permet au Canada d’enfin affirmer sa présence sur le marché en forte croissance de l’Asie-Pacifique. La Chambre de commerce de la Colombie-Britannique félicite le gouvernement fédéral de la conclusion de cet accord. »
John Winter, président et chef de la direction, Chambre de commerce de la Colombie-Britannique
« L’Accord de libre-échange Canada-Corée est d’une grande importance pour le Canada. La Corée du Sud détient l’une des économies avancées connaissant la plus forte croissance au monde; cet accord marque un tournant dans les efforts du Canada visant à resserrer les liens économiques avec la région de l’Asie-Pacifique. Cet accord, comme d’autres ententes semblables, est essentiel au maintien d’une qualité de vie élevée pour les citoyens canadiens. En effet, il permet de trouver de nouvelles sources de croissance en matière d’exportation et de nouvelles possibilités de commerce et d’investissement à l’échelle internationale. »
L’honorable John Manley, C.P., président et chef de la direction, Conseil canadien des chefs d’entreprise
« Lors de ma visite en Corée du Sud l’automne dernier, j’ai pu constater à quel point les entreprises canadiennes perdent du terrain sur ce marché par rapport à leurs concurrents étrangers. Certaines s’étaient même résignées à fermer leur bureau de commercialisation. Un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud aidera nos entreprises et stimulera les possibilités de croissance dans de nombreux secteurs comme l’agroalimentaire, l’aérospatiale, les infrastructures, l’énergie, les produits chimiques, la foresterie et les services financiers, pour n’en nommer que quelques-uns. La réduction et la suppression des obstacles au commerce et à l’investissement sur ce marché stimuleront les exportations et créeront des emplois pour les Canadiens. »
L’honorable Perrin Beatty, C.P., président et chef de la direction, Chambre de commerce du Canada
« Les riches marchés de l’Asie constituent la prochaine étape dans la quête du Canada visant à supprimer les obstacles tarifaires et non tarifaires au commerce et à l’investissement. L’accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud sera le premier pas vers un accès plus libre pour les exportations canadiennes. Cet accord devrait faire du Canada une destination encore plus attirante pour les investisseurs et les manufacturiers; de même, il créera des emplois et des possibilités pour les Canadiens et uniformisera les règles du jeu pour les entreprises canadiennes afin de les rendre plus compétitives sur la scène mondiale. »;
Jayson Myers, président et chef de la direction, Manufacturiers et Exportateurs du Canada
« I.E.Canada croit fermement que la libéralisation du commerce est bénéfique pour l’économie canadienne. Un accord de libre-échange avec la Corée créera des débouchés pour nos membres et leur assurera un accès au marché coréen. De plus, grâce à un tel accord, les entreprises canadiennes pourront désormais lutter à armes égales contre leurs concurrents étrangers, notamment les États-Unis et l’Union européenne, qui profitent déjà d’accords semblables. De même, en donnant un caractère officiel à ses relations avec la Corée, le Canada aura une nouvelle occasion d’étendre sa présence commerciale et d’assurer une croissance décisive sur de nouveaux marchés.»
Joy Nott, présidente, I.E.Canada, Association canadienne des importateurs et exportateurs
« Les petites et moyennes entreprises [PME] du Canada ont toujours soutenu la libéralisation des échanges commerciaux avec d’autres pays, à condition que les règles nécessaires soient en place. Des sondages de la FCEI indiquent que les droits de douane élevés et la réglementation des différents pays sont deux des plus grands obstacles commerciaux auxquels se heurtent les petites entreprises. En relevant ces défis, l’accord de libre-échange Canada-Corée procurera aux entrepreneurs canadiens un meilleur accès au marché sud-coréen, lequel pourra leur servir de rampe de lancement pour pénétrer l’immense marché asiatique. Cet accord est une excellente nouvelle pour les PME du Canada.»
Dan Kelly, président et chef de la direction, Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI)
« L’industrie minière canadienne se réjouit du nouvel accord de libre-échange avec la Corée du Sud, car ce pays est un marché clé pour les exportations de minéraux et de métaux du Canada. La capacité de l’industrie à être concurrentielle sur le marché international repose sur l’accès aux marchés émergents et sur la libre circulation des biens et des capitaux. Nous appuyons fermement ce jalon le plus récent dans le programme commercial actif du gouvernement du Canada.»
Pierre Gratton, président et chef de la direction, Association minière du Canada
Biens industriels
« Ce tout dernier accord de libre-échange avec la Corée témoigne des avancées que continue de réaliser le gouvernement du Canada afin de lever les obstacles au commerce qui nuisent à la compétitivité des entreprises canadiennes à l’international. Comme notre entreprise est axée sur l’exportation, elle doit demeurer concurrentielle à l’échelle mondiale; c’est pourquoi nous nous réjouissons de cette occasion d’exporter vers le marché sud-coréen avec encore plus d’efficacité. »
Fraser Edison, président-directeur général de Rutter Inc.
« La signature d’un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée est une excellente nouvelle. Nous prévoyons que cet accord, lorsqu’il entrera en vigueur, ouvrira de nouveaux marchés aux exportateurs canadiens comme NOVO sur l’ensemble du marché dynamique et en plein essor de l’Asie et qu’il créera des opportunités commerciales importantes pour toutes les petites et moyennes entreprises canadiennes. »
Baljit Sierra, président et chef de la direction, NOVO Plastics Inc.
« L’accord de libre-échange avec la Corée du Sud est une étape supplémentaire dans l’accroissement de l’ouverture des marchés pour l’industrie canadienne de l’aluminium, après le récent accord avec l’Union européenne. D’entrée de jeu, cet accord réduira les droits de douane existants de 98 p. 100 ― des droits qui peuvent atteindre 8 p. 100 en fonction du type de produit en aluminium. »
Jean Simard, président-directeur général, Association de l’aluminium du Canada
« Un commerce libre et ouvert avec les marchés prioritaires de l’Asie, notamment la Corée et le Japon, est essentiel aux intérêts nationaux du Canada visant la compétitivité sur le plan mondial, la création d’emplois et l’accroissement de la prospérité. La négociation réussie d’un accord commercial avec la Corée permettrait également au Canada d’utiliser toutes ses ressources pour conclure rapidement un accord de partenariat économique avec le Japon. »
Jerry Chenkin, président, Japan Automobile Manufacturers Association of Canada
« En prévision de la conclusion imminente des négociations avec la Corée du Sud, nous nous attendons à ce que le gouvernement du Canada finalise rapidement l’APE entre le Canada et le Japon, de façon à créer des conditions égales pour tous les distributeurs de véhicules sur le marché canadien, ce qui créera des avantages pour les consommateurs canadiens.
David Adams, président, Constructeurs mondiaux d’automobiles du Canada
« Notre industrie est tributaire des exportations et de l’accès aux marchés internationaux pour demeurer concurrentielle et continuer de créer des emplois et des revenus ici au pays. Cet accord est essentiel pour rétablir des règles du jeu équitables pour les entreprises canadiennes sur le marché sud-coréen, et d’autant plus important compte tenu de la croissance considérable que connaîtra l’industrie aérospatiale dans la région de l’Asie-Pacifique au cours des prochaines années. Nous félicitons le gouvernement du Canada de cette réalisation, et nous remercions ses représentants pour leur engagement continu à stimuler la compétitivité du Canada sur les marchés internationaux.»
Jim Quick, président et chef de la direction, Association des industries aérospatiales du Canada
« L’Association canadienne de l’industrie de la chimie félicite le gouvernement fédéral de la conclusion de l’accord commercial entre le Canada et la Corée. Les membres de l’Association ont besoin des marchés étrangers pour prospérer et prendre de l’expansion, et le récent élargissement de l’accès au marché pour les produits canadiens améliorera la situation. Cette entente avec la Corée du Sud, ainsi que l’importance que le gouvernement ne cesse d’accorder à la région de l’Asie-Pacifique, renforce la compétitivité de l’industrie canadienne de la chimie au sein des chaînes de valeur mondiales.»
Richard Paton, président et chef de la direction, Association canadienne de l’industrie de la chimie
« Tous les jours, les membres de notre association fournissent des produits novateurs d’importance vitale aux patients canadiens. Cela dit, ils sont tributaires également des exportations de ces mêmes produits pour prospérer. Nous sommes convaincus que cet accord de libre-échange permettra de soutenir et de renforcer l’industrie de la technologie médicale au Canada, ce qui profitera également aux patients canadiens et contribuera à la croissance économique et à la création d’emplois.»
Brian Lewis, président et chef de la direction, MEDEC – Les Sociétés canadiennes de technologies médicales
« La Fédération canadienne du vêtement félicite le gouvernement d’avoir conclu avec la Corée du Sud un accord de libre-échange prévoyant des règles d’origine très progressistes. Ce pays, dont l’économie est en croissance rapide et dont les consommateurs sont de plus en plus riches, offre un véritable potentiel aux exportateurs canadiens de vêtements. Nous attendons avec impatience que le gouvernement conclue aussi des accords commerciaux avec d’autres marchés clés en Asie, comme le Japon.»
Elliot Lifson, président, Fédération canadienne du vêtement
« Nous nous réjouissons de la conclusion des négociations sur d’un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud. Cet accord reconnaît l’énorme potentiel d’accroissement des liens en matière de commerce et d’investissement entre nos entre nos deux pays; j’ai la certitude que cet accord procurera à Bombardier notre entreprise le soutien dont elle a besoin au moment où elle accroît ses activités commerciales et multiplie les partenariats dans les secteurs aéronautiques et ferroviaires et multiplie les partenariats en Corée du Sud. Les entreprises canadiennes, comme Bombardier, devraient profiter de l’accord dans des domaines comme tels que l’élimination des droits de douane, la mobilité de la main-d’œuvre, et l’investissement ainsi que et les marchés publics, sans compter l’élimination des droits de douane. »
Pierre Beaudoin, président et chef de la direction, de Bombardier inc
Produits forestierss et produits du bois à valeur ajoutée
« Le nouvel Accord de libre-échange Canada-Corée mettra les entreprises canadiennes du secteur des produits forestiers et produits du bois à valeur ajoutée sur un pied d’égalité avec les autres exportateurs, ce qui donnera à ces entreprises de meilleures possibilités de croissance et d’expansion sur le marché. Nous sommes impatients de constater les avantages réciproques que procurera l’Accord de libre-échange Canada-Corée aux deux pays dans les années à venir. »
Rick Jeffery, président-directeur général, Coast Forest Products Association
« La Corée du Sud est maintenant le quatrième marché en importance pour l’industrie canadienne des produits forestiers. Elle représente aussi un important pays cible alors que le Canada cherche à augmenter ses exportations dans la région de l’Asie-Pacifique. Cet accord de libre-échange s’attaque aux obstacles tarifaires et non tarifaires qui s’appliquent actuellement à nos produits forestiers qui sont vendus en Corée. Il permettra donc à notre secteur d’atteindre son objectif ambitieux dans le cadre de l’initiative Vision 2020, soit augmenter ses revenus de 20 milliards de dollars d’ici la fin de la décennie au moyen de nouveaux produits et de nouveaux marchés. »David Lindsay, président et chef de la direction, Association des produits forestiers du Canada
Produits de la mer
« Nous saluons les efforts du premier ministre Stephen Harper et du gouvernement du Canada pour accroître sans cesse les échanges commerciaux du Canada avec d’autres pays du monde. L’Asie est la région du monde qui connaît la croissance économique la plus rapide, de sorte que les importations de produits de la mer de ce marché nous permettront d’accroître notre présence dans l’ensemble de la Corée du Sud et de l’Asie. »
Martin Sullivan, président et chef de la direction de Ocean Choice International
« Le Conseil canadien du homard est en faveur d’un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud parce qu’il renforcera considérablement la compétitivité de notre industrie dans ce pays. La suppression des tarifs et l’amélioration de l’accès aux marchés pour les exportations de homard contribueront à assurer la prospérité à long terme de notre industrie et des milliers de personnes qu’elle emploie dans la région du Canada atlantique.»
Geoff Irvine, directeur général, Conseil canadien du homard
« Un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud sera bénéfique pour l’industrie canadienne des produits de la mer sauvages du Pacifique. L’Accord de libre-échange Corée–États-Unis, qui est entré en vigueur en 2012, profite largement à nos concurrents de l’Alaska, et nous ne pouvons pas nous permettre d’être à la traîne. Nous savons qu’il y a des avantages à un accord de libre-échange avec la Corée du Sud, parce que nos concurrents alaskiens en profitent déjà. La réduction des tarifs sur les produits de la mer ouvrira le marché sud-coréen aux produits de la mer de grande qualité de la côte pacifique du Canada et se traduira par des emplois pour les Britanno-Colombiens.»
Christopher Sporer, directeur exécutif, Seafood Producers Association of British Columbia
« Le libre-échange est un élément clé d’un avenir fructueux pour les produits de la mer du Canada. L’entente commerciale globale entre le Canada et l’Europe a fait le bonheur de tous, et nous sommes ravis que l’ouverture des marchés internationaux, en particulier ceux des pays florissants de l’Asie comme la Corée du Sud, représente une priorité pour le gouvernement du Canada. L’Accord de libre-échange Canada-Corée créera des occasions marquantes d’accès au marché pour le secteur des produits de la mer du Canada en supprimant les droits de douane élevés de la Corée du Sud sur tous les produits de la mer. »
Derek Butler, directeur général, Association of Seafood Producers
« En Colombie-Britannique, les fruits de mer sont les produits agroalimentaires d’exportation les plus précieux : les exportations annuelles se chiffrent à environ 1 milliard de dollars. Les exportations de fruits de mer vers la Corée du Sud font l’objet de droits de 10 à 20 p. 100 pour les poissons de fond et de 20 p. 100 ou plus dans le cas du saumon, du flétan, de la morue charbonnière, des œufs de hareng, des oursins, du panope du Pacifique, des crevettes et des langoustines. De toute évidence, un accord de libre-échange avec la Corée du Sud est une bonne nouvelle pour notre industrie et toute la côte ouest. Le commerce crée de l’emploi et permet d’élever le niveau de vie de tous les Canadiens. »
Christina Burridge, directrice générale, BC Seafood Alliance
Produits agricoles et agroalimentaires
« Nous sommes très heureux que le gouvernement du Canada ait réussi à conclure cet accord commercial. Il y avait un sentiment d’urgence relativement à cette entente parce que nos concurrents, les États-Unis et l’Australie, prenaient rapidement l’avantage sur nous. Cet accord signifie que le bœuf canadien sera de nouveau en mesure de soutenir la concurrence pour obtenir un accès significatif au marché sud-coréen. »Dave Solverson, président, Canadian Cattlemen’s Association
« Les producteurs de canola de l’Alberta félicitent le gouvernement fédéral d’avoir conclu l’accord de libre-échange avec la Corée du Sud. Cet accord permettra au canola canadien de rivaliser à armes égales pour accéder à un important marché d’exportation. »Colin Felstad, président, Alberta Canola Producers Commission
« Cet accord commercial est d’une importance considérable pour le secteur de la transformation des aliments et des boissons en Ontario et partout au Canada. Dans le secteur agroalimentaire, l’Accord s’engage à supprimer près de 87 p. 100 des droits de douane sur les produits du Canada exportés vers la Corée du Sud. Une porte ouverte sur la Corée du Sud offrira de nouvelles possibilités aux entreprises de transformation des aliments et des boissons de l’Ontario non seulement en Corée, mais aussi dans toute l’Asie par l’entremise d’un réseau de chaînes d’approvisionnement. »
Steve Peters, directeur administratif, Alliance of Ontario Food Processors
« Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les producteurs de bœuf canadien. La capacité d’exporter toutes les parties de l’animal vers ce marché de grande valeur permettra de maximiser les recettes des producteurs. Je suis particulièrement satisfait des mesures dynamiques d’élimination graduelle prévues pour ce qui est des abats dont la valeur en Corée est supérieure à celle de l’Amérique du Nord.
Dan Darling, vice-président et président du commerce extérieur, Canadian Cattlemen's Association
« Cette annonce est une bonne nouvelle. En 2012, les exportations canadiennes de céréales vers la Corée du Sud se sont chiffrées à 479 millions de dollars alors que cette année elles se sont chiffrées à moins de 100 millions de dollars. Avec l’annonce de l’accord de libre-échange, nous pouvons maintenant envisager un retour sur le marché sud-coréen. »
Wade Sobkowich, directeur général, Western Grain Elevator Association.
« L’Accord de libre-échange Canada-Corée devrait nous permettre de jouer à armes égales avec nos concurrents. Les pays asiatiques représentent actuellement des marchés d’exportation intéressants et lucratifs pour notre industrie. »
David Boissonneault, président, Éleveurs de porcs du Québec
« La Winery & Grower Alliance of Ontario appuie la conclusion de l’Accord de libre-échange Canada-Corée. La Corée du Sud est le deuxième marché d’exportation en Asie pour les vins de l’Ontario, et particulièrement pour notre produit-phare, le vin de glace. Un tel accord devrait accroître la compétitivité des vins de la province en Corée du Sud et ainsi mener à la hausse des exportations. »
Patrick Gedge, président et chef de la direction, Winery & Grower Alliance of Ontario
« En 2012, la levée des restrictions liées à l’ESB que la Corée appliquait au bœuf canadien a coïncidé avec l’entrée en vigueur de l’Accord de libre-échange États-Unis–Corée, ce qui a empêché le bœuf canadien de tirer pleinement profit de l’important marché que représente la Corée du Sud. L’Accord de libre-échange Canada-Corée restaurera notre capacité d’expédier de grandes quantités de bœuf sur le marché sud-coréen, ce qui ajoute de la valeur à chaque animal transformé ici, en Alberta. »
Greg Bowie, président, Alberta Beef Producers
« Les producteurs d’orge de l’Alberta accueillent favorablement l’Accord de libre-échange Canada-Corée. En effet, nous nous attendons à ce que la demande au chapitre des exportations de bœuf et de porc soit en hausse, ce qui signifie aussi une augmentation de la demande en orge fourragère. L’augmentation de la demande au chapitre de nos exportations entraînera une plus grande rentabilité pour nos cultivateurs locaux. Cet accord représente la prochaine étape en vue d’assurer un avenir agricole plus sûr aux producteurs d’orge. »
Matt Sawyer, président, Alberta Barley
« L’industrie des vins de la Colombie-Britannique se réjouit du potentiel d’expansion qu’offre l’important marché de la Corée du Sud. Au moment où la superficie des terres vinicoles en Colombie-Britannique augmente et alors que le volume des récoltes est revenu à la normale, nous nous tournerons vers de nouveaux marchés pour promouvoir partout dans le monde les vins de grande qualité de la province portant la marque VQA. Un accord de libre-échange fructueux avec la Corée du Sud aiderait certainement à créer de nouveaux débouchés pour les vins de la Colombie-Britannique. »
Miles Prodan, président et chef de la direction, British Columbia Wine Institute
« La Corée du Sud représente un important marché lucratif pour le bœuf canadien. Nous nous attendons à ce que cet accord de libre-échange nous permette de reprendre notre place sur le marché coréen. Le fait de renforcer notre présence nous permettra non seulement de tirer parti d’une augmentation des exportations mais, plus important encore, d’ajouter aussi de la valeur à chacun des animaux que nous élevons et transformons au Canada. »
Kevin Boon, directeur général, British Columbia Cattlemen’s Association
« Les avantages d’un accord de libre-échange avec la Corée sont réels et considérables pour les économies nationale et provinciales de notre pays. L’industrie agroalimentaire représente plus d’un demi-million d’emplois directs pour les Canadiens et 80 p. 100 des exportations canadiennes en agriculture et en agroalimentaire. Le secteur de la transformation des aliments est le plus important employeur manufacturier du Canada, et l’Accord de libre-échange Canada-Corée favorisera la création de possibilités formidables pour nos membres ainsi que pour les Canadiens qu’ils emploient.»
Lisa Skierka, présidente, Alliance canadienne du commerce agroalimentaire
« En tant que chef de file dans le traitement de produits de pommes de terre surgelés, notre entreprise voit dans l’accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud une occasion en or pour affirmer sa présence sur ce marché, ainsi que dans l’ensemble de la région Asie-Pacifique. Le libre-échange contribue à soutenir notre industrie, la main-d’œuvre que nous employons et la vente des produits de haute qualité que nous produisons depuis plus de 30 ans.»
Vince Taddeo, vice-président (international), Les fermes Cavendish
« L’Accord de libre-échange Canada-Corée sera crucial pour la croissance future de l’industrie canadienne du porc, dont 70 p. 100 est tributaire des marchés d’exportation.»
Jean-Guy Vincent, président, Conseil canadien du porc
« Depuis quelques années, les États-Unis, qui sont le principal concurrent du Canada en ce qui concerne le bœuf, bénéficient d’un avantage tarifaire de plus en plus marqué découlant de leur accord de libre-échange avec la Corée du Sud – et l’Australie est en voie d’obtenir des avantages similaires grâce à l’accord qu’elle a conclu récemment avec la Corée du Sud. Leurs gains, ce sont nos pertes. Cette annonce signifie que le bœuf canadien pourra à nouveau obtenir un accès concurrentiel au marché sud-coréen.»
Martin Unrau, président sortant, Canadian Cattlemen’s Association
« Cet accord représente une grande victoire pour l’industrie agroalimentaire du Canada. Il restaure des règles du jeu équitables et donne accès à une multitude de débouchés pour le porc canadien de qualité et pour d’autres exportations de produits agroalimentaires sur le lucratif marché sud-coréen. Nous encourageons fortement le gouvernement à mettre en œuvre cet accord sans tarder.»
Michael McCain, président et chef de la direction, Les Aliments Maple Leaf
« L’exportation des spiritueux canadiens est essentielle à la santé financière de cette industrie, et il est capital que le Canada demeure un chef de file de la libéralisation du marché des boissons alcoolisées. Chaque bouteille de spiritueux qui est exportée contient des céréales locales de première qualité — orge, maïs, seigle ou blé — qui, après transformation, produisent de la vodka, de la liqueur ou du whisky canadien sans pareil. Nous nous réjouissons de la conclusion d’un accord de libre-échange Canada-Corée, qui créera d’importants débouchés à l’exportation pour notre industrie.»
Jan Westcott, président et chef de la direction, Spirits Canada
« L’industrie vinicole canadienne est heureuse d’appuyer le gouvernement du Canada dans ses efforts en vue de conclure les négociations entourant l’Accord de libre-échange Canada-Corée. La Corée du Sud représente un marché d’importance pour les producteurs canadiens de vin, comme le démontre la forte croissance de la valeur des exportations canadiennes de vin de glace qui ont connu une augmentation de près de 25 % de 2012 à 2013. Grâce à un accord de libre-échange positif, l’industrie vinicole canadienne s’attend à une croissance des exportations encore plus importante au cours des prochaines années.»
Dan Paszkowski, président, Association des vignerons du Canadan
« L’Association des fabricants d’aliments pour animaux familiers du Canada se réjouit de la conclusion de l’Accord de libre-échange Canada-Corée. Cet accord et d’autres accords de libre-échange signifient un meilleur accès au marché pour les fabricants canadiens d’aliments pour animaux familiers qui souhaitent exporter leurs produits de grande qualité.»
Marty Wilder, directeur général, Association des fabricants d’aliments pour animaux familiers du Canada
« La Corée du Sud constitue un marché d’importance pour le canola; en effet, depuis quelques années, les ventes annuelles oscillent entre 60 et 90 millions de dollars. Un accord de libre-échange pourrait nous permettre d’augmenter, voire doubler nos exportations vers ce marché.»
Patti Miller, présidente, Conseil canadien du canola
Services
« En tant que défenseurs du libre-échange bilatéral et multilatéral, nous croyons que cet accord signé par le premier ministre Harper et la présidente Park offrira de nouvelles voies commerciales prometteuses aux deux pays. »
Mike Tierney, président, UPS Canada
« En tant qu’entreprise aux intérêts commerciaux croissants en Corée du Sud, nous félicitons le gouvernement fédéral de la négociation fructueuse d’un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud qui soutient le renforcement du commerce et de la collaboration entre les deux pays. Nous sommes particulièrement satisfaits du chapitre de l’accord portant sur l’investissement, qui définit les droits et les obligations des deux pays en ce qui concerne le traitement réservé aux investisseurs canadiens en Corée du Sud et aux investisseurs coréens au Canada. »
Eric Sprott, président, Sprott Inc.
« À titre d’une des industries canadiennes les plus actives à l’échelle internationale, l'industrie de l'assurance-vie et de l’assurance maladie soutient avec ferveur les accords de libre-échange. Nous sommes heureux que le Canada ait conclu un tel accord avec un marché aussi vaste et important que celui de la Corée du Sud. »
M. Frank Swedlove, président de l’Association canadienne des compagnies d’assurances de personnes
« La Banque Scotia félicite les gouvernements du Canada et de la Corée du Sud pour avoir mené à bien leurs négociations concernant l’Accord de libre-échange Canada-Corée. La Banque Scotia exerce ses activités dans la région de l’Asie-Pacifique depuis 50 ans, et elle se réjouit du premier accord de libre-échange conclu entre le Canada et un pays de la région de l’Asie-Pacifique. Il s’agit d’un pas dans la bonne direction en vue de renforcer les liens avec ce marché. Cet accord permet également de souligner l’importance des exportations canadiennes en Corée du Sud, dont l’économie se classe au 15e rang mondial. Cet accord de libre-échange donnera un accès au secteur financier sud-coréen semblable à celui prévu par l’Accord de libre-échange Corée–États-Unis. Ce faisant, les investisseurs des institutions financières canadiennes seront mieux protégés.»
Brian Porter, président et chef de la direction, Banque Scotia
« La Coalition canadienne du secteur des services salue l’annonce d’un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée. Cet accord historique, le premier entre le Canada et un pays d’Asie, offrira aux entreprises canadiennes du secteur des services un meilleur accès au marché sud-coréen de 1,1 billion de dollars. Les accords commerciaux sont une priorité pour les industries du secteur des services du Canada, qui comprennent les services financiers, les services d’ingénierie et de l’environnement, les services professionnels et de consultation, et les services de technologie de l’information. Les entreprises du secteur se réjouissent de cet accord, qui constituera un avantage important pour le Canada.»
Shirley-Ann George, vice-présidente, Coalition canadienne du secteur des services
« L’accès aux marchés mondiaux est essentiel au renforcement du secteur des technologies de l’information et des communications, comme le savent la plupart des entreprises qui sont actives dans ce secteur. La Corée du Sud est un acteur de premier plan sur les marchés mondiaux de l’électronique grand public et des télécommunications. Les membres de l’Association canadienne de la technologie de l’information interviennent d’ailleurs déjà dans les chaînes d’approvisionnement sud-coréennes ou le feront dans un proche avenir. La libéralisation du commerce avec la Corée du Sud offre d’immenses possibilités pour notre secteur. La perspective d’un accord de libre-échange entre le Canada et ce pays représente donc une excellente nouvelle pour nos exportateurs de produits électroniques.»
Association canadienne de la technologie de l'information
Transportation
« Au cours de la dernière décennie, le phénomène du transport conteneurisé des marchandises à grand volume a permis au Port de Montréal d’étendre sa portée mondiale. Les marchés émergents de l’Asie représentent maintenant 14 p. 100 de notre trafic conteneurisé, alors que leur présence était à peu près nulle dans les années 2000. Bien que le transport par cargo en provenance ou à destination de la Corée du Sud représente pour nous un marché relativement modeste de la région de l’Asie, un accord de libre-échange ne pourrait que favoriser la croissance de nos importations et exportations par rapport à ce pays. »
Sylvie Vachon, présidente-directrice générale, Administration portuaire de Montréal
« Port Metro Vancouver se réjouit de la conclusion d’un accord de libre-échange entre le Canada et la Corée du Sud. Il s’agit d’une étape déterminante du renforcement des relations commerciales entre nos deux pays. La Corée du Sud est le troisième partenaire commercial en importance du port de Vancouver en Asie. Les échanges commerciaux qui transitent par Vancouver, et qui représentent annuellement plus de 200 000 conteneurs, comprennent notamment des produits comme des céréales des Prairies et des ressources naturelles de la Colombie-Britannique. Cet accord de libéralisation commerciale accroîtra le commerce bilatéral entre le Canada et la Corée du Sud, qui se chiffre déjà à 10 milliards de dollars par an, favorisant la création d’emplois et la croissance économique au pays. »
Robin Silvester, président-directeur général, Port Metro Vancouver
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