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Comparution du Ministre des Affaires étrangères devant le comité plénier – Notes sur les enjeux – Matériel de breffage

2021-12-07/08

Table des matières

  1. Commerce international (Mary Ng)
    1. La verrue de pomme de terre à l’Île-du-Prince-Édouard
    2. Crédits d’impôt des États-Unis pour l’achat de véhicules électriques
    3. Contingents tarifaires pour les produits laitiers
    4. Bois d’œuvre résineux
  2. Développement international
    1. Réponse du Canada en matière d’aide internationale pour faire face à la pandémie de COVID19
    2. Afghanistan
    3. Aide à la Chine
    4. Proposition de dérogation à l'accord sur les ADPIC de l’OMC
    5. UNRWA
  3. Défense nationale (Anita Anand)
    1. Budget supplémentaire des dépenses (b) - Augmentation de la solde des Forces canadiennes - Crédit 1b (dépenses de fonctionnement)
    2. Budget supplémentaire des dépenses (b) - Accord de règlement définitif des recours collectifs Heyder et Beattie - Crédit 1b (dépenses de fonctionnement), Crédit 5b (dépenses en capital)
    3. Budget supplémentaire des dépenses (b) - Contributions accrues à l'OTAN - Crédit 10b (subventions et contributions)
    4. Changement de culture
    5. Projet de capacité du futur avion de combat (FFCP)
    6. Opération UNIFIER (Ukraine) - La mission de la CAF pour soutenir les forces de sécurité de l'Ukraine 58
  4. Anciens Combattants (Lawrence MacAulay)
    1. Budget supplémentaire des dépenses (b)
    2. Délais de traitement des demandes de prestations d’invalidité et plan d’action
    3. Soutien aux survivants d’inconduite sexuelle militaire
    4. Gestion de cas d’Anciens Combattants Canada
  5. Centre de la sécurité des télécommunications (Anita Anand)
    1. Budget supplémentaire des dépenses (b)
  6. Agence de promotion économique du Canada atlantique (Ginette Petitpas- Taylor)
    1. Budget supplémentaire des dépenses (b)
    2. Le point sur les programmes de l’APECA et les secteurs clés
    3. Le point sur le soutien offert en lien avec la COVID-19
  7. Agence canadienne de développement économique du Nord (Dan Vandal)
    1. Budget supplémentaire des dépenses (b) - La Stratégie de relance de tourisme de CanNor
  8. Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec (Pascale St-Onge)
    1. Budget supplémentaire des dépenses (b)
    2. La relance économique suite à la pandémie de COVID-19
    3. Réalisations de Développement économique Canada pour les régions du Québec
    4. Mesures et programmes en réponse à la COVID-19

Commerce international (Mary Ng)

La verrue de pomme de terre a l'île-du-prince-édouard

Messages complémentaires

Contexte

Le 1er octobre et le 14 octobre 2021, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a confirmé la détection du champignon de la galle verruqueuse de la pomme de terre, Synchytrium endobioticum, un organisme nuisible réglementé à déclaration obligatoire, dans deux champs distincts de pommes de terre de transformation sur deux fermes distinctes. Les champs sont liés à des détections antérieures de galle verruqueuse de la pomme de terre et ont fait l'objet d'une surveillance conformément au Plan national de gestion à long terme de la galle verruqueuse de la pomme de terre. Les deux exploitations de pommes de terre sont situées à l'Île-du-Prince- Édouard.

Le 21 novembre 2021, le ministre Bibeau a émis un arrêté ministériel en vertu de la Loi sur la protection des végétaux. L'arrêté restreint la vente de pommes de terre de semence de l'Î.-P.-É. au reste du Canada et aux États-Unis. Le Canada peut continuer à exporter des pommes de terre vers des pays autres que les États-Unis dans des cas précis, si les exigences des pays importateurs peuvent être respectées. Les exportations de pommes de terre de table et de pommes de terre de transformation de l'Î.-P.-É. vers les États-Unis sont suspendues pendant l'examen des risques et des mesures de gestion des risques. Cette mesure ne s'applique pas aux pommes de terre IPE transformées, telles que les pommes de terre congelées. Le décret permettra également d'élaborer des programmes de certification pour soutenir les industries touchées à l'Î.-P.-É. et de veiller à ce que les produits réglementés soient certifiés pour atténuer les préoccupations liées à la galle verruqueuse de la pomme de terre.

Les réactions au décret ont été négatives à l'Î.-P.-É., tant de la part des intervenants de l'industrie que des politiciens, y compris le premier ministre de l'Î.-P.-É., Dennis King, qui a soutenu que le décret va à l'encontre de la science et des protocoles acceptables et qu'il est pris pour apaiser les États-Unis.

Bien que le Canada ait informé ses partenaires du CUSMA de la détection de la galle verruqueuse de la pomme de terre, conformément aux pratiques de transparence établies, les mesures prises par le gouvernement du Canada pour restreindre le commerce étaient les siennes et non une conséquence des engagements du CUSMA.

En 2020, l'Î.-P.-É. a exporté pour 121,6 millions de dollars de pommes de terre fraîches. La majorité de ces exportations étaient des pommes de terre de table et de transformation (116,3 millions de dollars), les exportations de pommes de terre de

semence étant évaluées à 5,3 millions de dollars. La plus grande catégorie d'exportation de pommes de terre de l'Î.-P.-É. est celle des pommes de terre congelées, qui était évaluée à 369,2 millions de dollars en 2019/2020. L'arrêté ne s'applique pas aux pommes de terre congelées.

Crédits d’impôt des états-unis Pour l’achat de véhicules électriques

Messages supplémentaires

Contexte

L’ébauche du projet de loi « Build Back Better » de la Chambre des représentants prévoit des crédits d’impôt pour l’achat de véhicules électriques aux États-Unis qui menacent la production automobile au Canada. Les crédits proposés ne respectent pas les obligations des États-Unis aux termes de l’ACEUM et envers l’OMC et risquent de déclencher une guerre commerciale entre les États-Unis et ses alliés, dont le Canada.

En plus d’un crédit de base maximal de 7 500 $, un crédit de 4 500 $ est offert si l’assemblage final d’un véhicule électrique est effectué dans une installation

syndiquée des États-Unis; un crédit supplémentaire de 500 $ est offert si le véhicule électrique est propulsé par des éléments de batterie qui sont fabriqués aux États-Unis; et, plus préoccupant encore, à compter de 2027, le total des crédits (jusqu’à 12 500 $) sera offert à condition que l’assemblage final du véhicule électrique soit effectué aux États-Unis.

La Chambre des représentants doit voter sur l’ébauche consolidée du projet de loi, qui, s’il est adopté, sera présenté au Sénat. Les intervenants canadiens du secteur de l’automobile sont mobilisés et très préoccupés. Le 22 octobre, vous avez envoyé aux dirigeants du Congrès une lettre soulignant les profondes préoccupations du Canada, le 26 octobre, le ministre Fedeli de l’Ontario a envoyé une lettre semblable au nom de la province, et le 29 octobre, l’ambassadeur Hillman a signé une lettre envoyée par les ambassadeurs de l’UE et les États membres de l’UE, le Japon, la Corée et le Mexique, dans laquelle ils expriment leurs vives préoccupations.

Contingents tarifaires pour les produits laitiers – règlement des différends par un groupe spécial de l’aceum

Points supplémentaires

Mise à jour

L’audience orale du différend a eu lieu les 25 et 26 octobre à Ottawa. Le Canada a argumenté que les États-Unis tentent d’obtenir par voie judiciaire ce qu’ils n’ont pas réussi à obtenir lors des négociations et que les États-Unis ont mal interprété et déformé les obligations applicables à l'accès du Canada au marché des produits laitiers en vertu de l'ACEUM. Suite à l'audience, le groupe spécial devrait publier un rapport initial dès la fin novembre et une décision finale au début janvier.

Faits et chiffres à l'appui

Contexte

Depuis l’entrée en vigueur de l’ACEUM le 1er juillet 2020, les États-Unis ont exprimé des inquiétudes quant à l’administration des contingents tarifaires (CT) de produits laitiers du Canada dans le cadre de l’ACEUM. À la suite de consultations en décembre 2020, les États-Unis ont demandé l'institution d'un groupe spécial de règlement du différend le 25 mai 2021.

Les États-Unis allèguent que la pratique du Canada consistant à attribuer une proportion importante des CT aux transformateurs enfreint nos engagements en vertu de l’ACEUM. La position du Canada est qu'il respecte pleinement ses engagements dans le cadre de l’ACEUM en mettant en œuvre le mécanisme d'allocation des CT que nous avons choisi, qui répond également aux objectifs de gestion de l'offre que le Canada s'est fixés depuis longtemps, à savoir assurer la prévisibilité et la stabilité du marché laitier canadien.

Bois d’œuvre résineux

Points supplémentaires

Contexte

En ce moment, la plupart des entreprises canadiennes sont assujetties à un taux de droits combiné de 17,90% lorsqu’elles exportent certains produits de bois d’œuvre résineux aux États-Unis.

Le bois d’œuvre résineux demeure une priorité pour le gouvernement du Canada, qui aborde ce dossier avec l’administration américaine à tous les niveaux et à chaque occasion. Par ailleurs, le Canada continue de travailler avec ses alliés de longue date aux États-Unis, comme les associations de constructeurs d’habitations, pour souligner que les droits imposés par les États-Unis causent un préjudice injustifié aux consommateurs américains ainsi qu’aux collectivités et aux producteurs canadiens.

Les constructeurs d’habitations américains ont bien souligné la nécessité de trouver des solutions aux prix élevés du bois d’œuvre résineux et ont notamment demandé la levée des droits imposés sur le bois d’œuvre résineux canadien. La position du Canada demeure qu’un nouvel accord sur le bois d’œuvre résineux est dans l’intérêt supérieur des deux pays, et que le Canada sera prêt à reprendre les négociations lorsque les États-Unis seront disposés à discuter de propositions réalistes qui seraient acceptables pour l’industrie canadienne. Entretemps, le Canada continue de poursuivre vigoureusement ses contestations judiciaires des droits imposés par les États-Unis à l’OMC et au moyen des groupes spéciaux de règlement des différends de l’ALENA et de l’ACEUM.

Conformément au chapitre 19 de l’ALENA, le Canada conteste les décisions initiales du département du Commerce des États-Unis en matière de droits compensateurs et antidumping. Le Canada conteste également devant l’OMC les décisions du département du Commerce. Bien que le groupe spécial de l’OMC sur les droits antidumping ait constaté que les États-Unis ont incorrectement calculé les marges de dumping, le Canada a fait appel en juin 2019 de certaines conclusions du groupe spécial qui étaient incompatibles avec les rapports antérieurs de groupes spéciaux et/ou de l’Organe d’appel de l’OMC. En août 2020, le groupe spécial a publié son rapport sur la contestation des droits compensateurs par le Canada, dont les conclusions étaient largement en faveur de ce dernier, à savoir que les droits compensateurs imposés par les États-Unis sur le bois d’œuvre résineux canadien sont incompatibles avec les obligations contractées par les États-Unis dans le cadre de l’OMC. En septembre 2020, les États-Unis ont toutefois fait appel du rapport du

groupe spécial. Le calendrier de ces deux procédures d’appel n’est pas clair en raison de l’absence actuelle de quorum à l’Organe d’appel de l’OMC.

Enfin, le Canada poursuit des contestations sur les résultats définitifs des premiers examens administratifs du département du Commerce aux termes du chapitre 10 de l’ACEUM. Le département du Commerce mène chaque année des examens administratifs de ses ordonnances d’imposition de droits antidumping et compensateurs. Le processus d’examen administratif établit les taux de droits s’appliquant aux expéditions faites pendant la période visée par l’examen, ainsi que les nouveaux taux de droits qui seront appliqués aux dépôts perçus jusqu’à l’achèvement du prochain examen administratif annuel. Les résultats définitifs des deuxièmes examens administratifs, qui ont été émis le 24 novembre 2021, ont presque fait doubler le taux de droits applicable à la plupart des entreprises (17,90% par rapport à 8,99 %). Les troisièmes examens administratifs sont en cours, et les résultats définitifs sont attendus en août 2022.

Développement international

Réponse du canada en matière d’aide internationale pour faire face à la pandémie de covid-19

Messages supplémentaires

Mise à jour

Depuis le 11 février 2020, le gouvernement du Canada s’est engagé à verser plus de 2,6 milliards de dollars dans la réponse mondiale à la  COVID-19. Il a également mis  à disposition un milliard de dollars supplémentaires pour les prêts du Fonds  monétaire international liés à la COVID-19. Enfin, le Canada s’est engagé à faire don de l’équivalent de 200 millions de doses de vaccin contre la COVID-19 au  Mécanisme COVAX d’ici la fin de 2022.

Faits et chiffres à l'appui

Contexte

COVAX est un mécanisme mondial d’approvisionnement groupé pour les vaccins contre la COVID-19. Il comporte deux guichets : un guichet d’autofinancement pour les économies à revenu moyen supérieur et à revenu élevé et un guichet de garantie de marché (AMC) pour soutenir les économies à revenu faible et moyen inférieur.

Afghanistan

Mise à jour

La prise du pouvoir par les talibans le 15 août présente de nombreux défis pour le Canada et la communauté internationale. Les priorités actuelles du Canada sont les suivantes : 1) assurer le passage en toute sécurité des Canadiens, des ressortissants étrangers et des Afghans; 2) atténuer la crise humanitaire et des réfugiés; 3) continuer de plaider en faveur d’une gouvernance inclusive et du respect des droits de la personne, notamment pour les femmes, les filles et les autres groupes vulnérables et 4) coopérer en matière de lutte contre le terrorisme.

Faits et chiffres à l'appui

Contexte

Après la prise du pouvoir par les talibans, une grande partie de la communauté internationale, dont le Canada, a interrompu la plupart de l’aide au développement acheminée en Afghanistan. Étant donné qu’environ 80 % du programme de dépenses publiques de 11 milliards de dollars de l’Afghanistan dépendait de l’aide internationale, le retrait rapide de l’aide au développement et à la sécurité, associé à la perte d’accès aux actifs étrangers, a une incidence considérable sur l’économie, les services et les infrastructures du pays. Le Canada travaille avec d’autres donateurs et des pays aux vues similaires afin d’élaborer une approche commune sur les considérations et les conditions que la communauté internationale jugera essentielles pour l’acheminement de toute aide au développement en Afghanistan.

Les sanctions et les lois antiterroristes nationales compliquent l’acheminement de l’aide internationale en Afghanistan. Le Canada a inscrit les talibans sur la liste des entités terroristes en vertu du Code criminel en 2013; par conséquent, fournir ou rendre disponibles des biens, directement ou indirectement, en sachant qu’ils seront utilisés par un groupe terroriste (qu’il soit inscrit ou non) ou que le groupe pourra en bénéficier, est une infaraction. Des efforts sont en cours pour trouver des solutions afin de répondre aux besoins des Afghans, tout en s’assurant que les partenaires de mise en œuvre ne contreviennent pas aux lois canadiennes.

Aide à la chine

Messages supplémentaires

Au besoin : Si on demande pourquoi le Canada fournit de l’aide au développement à la Chine

Contexte

Aide à la Chine : Le programme d’aide au développement bilatéral à la Chine du Canada a commencé en 1981 et a pris fin en 2013. Toutefois, la Chine demeure techniquement un bénéficiaire de l’APD admissible selon la définition du CAD de l’OCDE. Par conséquent, malgré la fin du programme bilatéral du Canada, certaines dépenses en Chine constituent une aide internationale. En 2019-2020, l’aide internationale du Canada à la Chine totalisait 6,98 millions de dollars : 3,22 millions de dollars en dépenses bilatérales et environ 3,76 millions de dollars en aide multilatérale (fondé sur des répartitions fournies à titre indicatif). Les dépenses bilatérales du Canada (3,22 millions de dollars) sont principalement constituées du financement du Conseil chinois de coopération internationale en environnement et en développement (CCICED), du Fonds canadien d'initiatives locales (FCIL) et du Programme d’échanges universitaires Canada-Chine. Selon des renseignements préliminaires, l’aide internationale bilatérale à la Chine a diminué à 2,8 M$ en 2020-2021.

Conseil chinois de coopération internationale en environnement et en développement (CCICED) : Environnement et Changement climatique Canada (ECCC) est le ministère responsable de la participation du Canada au CCICED. Le CCICED est un organisme consultatif international qui fournit des recommandations stratégiques fondées sur la recherche concernant des questions relatives à l’environnement et au développement. Le Canada a récemment confirmé le renouvellement de sa contribution au financement pour la Phase VII du Conseil chinois (2022-2027). Le financement total de la Phase VII est de 8 012 400 millions de dollars CA, comme celui de la Phase VI. Le financement du CCICED est transféré d’AMC à ECCC en versements annuels de 1,6 million de dollars, pour un total de 8 millions de dollars sur 5 ans tirés de l’enveloppe de l’aide publique au développement (APD) du Canada. Le Canada et la Chine fournissent des parts à peu près égales au budget global du CCICED (1/3 chacun), le dernier tiers est fourni par d’autres partenaires participants y compris les États-Unis, l’UE, l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Suède et la Norvège.

Fonds canadien d'initiatives locales (FCIL) : Le Canada fournit un financement modeste pour les projets à petite échelle et à court terme (habituellement 1 à 2 ans) ayant une incidence élevée pour répondre aux besoins locaux. L’ambassade canadienne à Beijing administre et gère les projets du FCIL en Chine et l’ambassade canadienne de Chine est responsable de l’approbation des projets. Ces projets sont mis en œuvre principalement par des organisations non gouvernementales locales. En 2021-2022, le financement du FCIL en Chine a un budget total de 800 000 dollars. [CAVIARDÉ].

Programme d’échanges universitaires Canada-Chine (CCSEP) : Le Programme d’échanges universitaires Canada-Chine a été mis sur pied en 1973 comme programme bilatéral d’échanges universitaires officiel. Au cours des 47 dernières années, plus de 1000 universitaires ont participé au programme. Aux boursiers chinois entrants, le Canada fournit une subvention de 2 200 $ par mois, qui couvre l’assurance-médicale, le visa, le permis de travail et les dépenses de la vie quotidienne, alors que le gouvernement de Chine paie pour leur voyage au Canada. Pour les bénéficiaires canadiens sortants, le Canada couvre les coûts du voyage vers la Chine jusqu’à 3 300 $ par billet aller-retour, alors que le gouvernement de Chine couvre leurs frais de scolarité et leurs dépenses de la vie quotidienne en Chine. Les dépenses totales du Canada pour le programme en 2020-2021 s’élèvent à 143 000 $.

Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (BAII) : Les questions devraient être envoyées à Finances Canada qui est le ministère responsable de la BAII. Le Canada possède 1 % de la BAII, qui a adopté le cadre opérationnel, les structures de gouvernance et les pratiques exemplaires des BMD semblables établies depuis longtemps et ses membres comprennent l’Australie, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Les projets actifs de la BAII sont pour la majorité cofinancés avec d’autres banques multilatérales de développement et sont donc gérés suivant des règles et des normes bien établies. À ce jour, la BAII a approuvé le financement de sept projets en Chine. L’Initiative Une ceinture, une route (ICR) de la Chine est une politique étrangère nationale et une stratégie de développement, alors que la BAII est une banque multilatérale de développement.

Banque asiatique de développement (BAD) : Le Canada est un membre fondateur de la BAD et est actuellement le 7e plus grand actionnaire (2e non régional après les États-Unis), détenant 5,23 % de la souscription de capital de la BAD. Les cinq plus importants actionnaires de la BAD sont le Japon et les États-Unis (15,6 % chacun), la Chine (6,4 %), l’Inde (6,3 %) et l’Australie (5,8 %). La Chine est admissible à l’aide de la BAD aux conditions du marché et ne peut avoir accès à des ressources concessionnelles. La Chine s’approche du point de graduation de l’aide de la BAD, avec la BAD qui passe d’un modèle de soutien fondé sur l’infrastructure pour la Chine à un modèle de soutien axé sur les biens publics mondiaux comme la santé et l’environnement.

Proposition de dérogation à l'accord sur les ADPIC de l'OMC

Messages supplémentaires

Responsive – Demande de la Bolivie concernant une licence obligatoire pour la production de vaccins COVID-19 par la société ontarienne Biolyse

Faits et chiffre à l'appui / Contexte

Demande de la Bolivie concernant une licence obligatoire pour la production de vaccins COVID-19 par la société ontarienne Biolyse

Office de secours et de travaux des nations unies pour les réfugiés de palestine dans le proche-orient (UNRWA)

Messages supplémentaires

Mise à jour

En 2021, deux importantes violations présumées de neutralité ont été portées à l’attention des représentants canadiens et d’autres donateurs. En janvier et février, les représentants canadiens ont été alertés de l’utilisation par l’UNRWA de certains documents d’apprentissage problématiques allant à l’encontre des valeurs des Nations Unies destinés à l’autoapprentissage pendant les fermetures d’écoles liées à la pandémie. L’UNRWA a depuis évalué ces documents et pris des mesures correctives. Le ministre du Développement international et les représentants du Canada continuent de travailler en étroite collaboration avec les partenaires et la haute direction de l’UNRWA pour régler ce problème et pour s’assurer que les valeurs des Nations Unies sont respectées et que l’UNRWA prend d’autres mesures correctives, au besoin, à cet égard. En août, un rapport d’un groupe connu sous le nom de UN Watch a allégué que le personnel de l’UNRWA encourageait la violence et la haine par le biais des médias sociaux. L’UNRWA a lancé une enquête sur ces allégations; si une inconduite est constatée, l’Agence devra décider des mesures administratives ou disciplinaires jugées appropriées.

Faits et chiffres à l'appui

Contexte

Depuis 1948, l’UNRWA est la seule organisation des Nations Unies mandatée pour fournir des services de base à plus de cinq millions de réfugiés palestiniens en Cisjordanie, à Gaza, au Liban, en Syrie et en Jordanie. L’UNRWA est presque entièrement financé par des contributions volontaires de donateurs internationaux et a été confronté à un manque de financement important, en partie à cause de l’augmentation des besoins, de la baisse des contributions et de l’instabilité de l’environnement. Le budget du programme de l’UNRWA (éducation, santé et services sociaux) et ses Appels d’urgence pour l’aide humanitaire sont actuellement nettement sous-financés pour couvrir les services jusqu’à la fin de 2021. Sans ressources supplémentaires significatives, les services pourraient devoir être réduits, ce qui entraînera des conséquences humanitaires négatives.

Défense nationale (Anita Anand)

Augmentation de solde des forces canadiennes

Faits saillants

Détails

Entente de règlement définitive concernant le recours collectif heyder et beattie

Faits saillants

Détails

Calendrier et processus de règlement

Le programme de démarches réparatrices

Ce programme volontaire a les objectifs suivants :

Contributions accrues à l’otan

Faits saillants

Détails

Changement de culture

Faits saillants

Détails

Projet de capacité future en matière d’avions chasseurs (PCFAC)

Faits saillants

Détails

Projet de capacité future en matière d'avions chasseurs

ACS+

Construction des installations pour l'escadron de chasse

Opération unifier (Ukraine)

Si on insiste sur l’instruction d’extrémistes dans les forces de défense ukrainiennes :

Faits saillants

Analyse comparative entre les sexes plus (ACS+) :

Exemples de l’appui des Forces armées canadiennes :

Détails

Anciens Combattants (Lawrence MacAulay)

Budget supplémentaire des dépenses (b) dirigé d’Anciens Combattants Canada de 2021-2022

Objet

En raison de l’élection générale, le budget supplémentaire des dépenses (B) de 2021-2022 a été traité comme un exercice dirigé.

Réponse

Contexte

Le budget d’Anciens Combattants Canada (ACC) augmentera de 19,4 millions de dollars, ce qui représente une augmentation de 0,3 % par rapport au budget actuel. Le budget passera ainsi de 6 298 millions de dollars à 6 317 millions de dollars au moyen des transferts et des ajustements suivants :

[CAVIARDÉ]

Transferts de crédits – 400 000 $

Délais de traitement des demandes de prestations d’invalidité et plan d’action

Question

Le Ministère reconnaît que le problème de longue date lié aux délais de traitement des demandes de prestations d’invalidité est inacceptable et réduire les délais de traitement est notre principale priorité.

Réponse

Contexte

Situation actuelle (24 novembre 2021)

Mesures prises par Anciens Combattants Canada

Soutien aux survivants d’inconduite sexuelle militaire

Objet

Dans le cadre du Règlement du recours collectif Forces armées canadiennes-Ministère de la Défense nationale pour inconduite sexuelle, et l'exigence de remplir les obligations légales reliées à la mise en œuvre du programme de démarches réparatrices, Anciens Combattants Canada (ACC) travaille activement avec le Ministère de la Défense nationale (MDN) pour développer des soutiens psychosociaux pour les vétérans qui ont subi un traumatisme sexuel militaire. Cette initiative conjointe met l'accent sur l'élaboration d'un programme de soutien par les pairs des Forces armées canadiennes (FAC) et d'ACC pour les survivants d'inconduite sexuelle militaire.

Réponse

Contexte

En vertu du mandat clair confié au ministre de la Défense nationale dans le budget de 2021, Anciens Combattants Canada (ACC) travaille activement avec le ministère de la Défense nationale afin de mettre en place des mesures de soutien psychosocial à l’intention des vétérans qui ont subi un traumatisme sexuel militaire. Cette initiative conjointe a essentiellement pour but d’établir un programme de soutien par les pairs des FAC et d’ACC destiné aux survivants d’inconduite sexuelle en milieu militaire dans le cadre du Règlement du recours collectif Forces armées canadiennes – ministère de la Défense nationale pour inconduite sexuelle (aussi connu sous le nom recours collectif Heyder-Beattie) et en vertu de l’exigence de respecter les obligations juridiques liées à la mise en œuvre du programme Démarches réparatrices prévu dans l’accord de règlement définitif.

Anciens Combattants Canada accorde la plus haute priorité à s’assurer que les vétérans et leur famille, y compris les survivants d’inconduite sexuelle militaire, reçoivent les services dont ils ont besoin au moment et à l’endroit où ils en ont besoin. ACC accorde la plus haute priorité à s’assurer que les vétérans et leur famille, y compris les survivants de traumatismes sexuels militaires, reçoivent les services dont ils ont besoin au moment et à l’endroit où ils en ont besoin. Étant conscients que les traumatismes sexuels militaires ont des répercussions différentes sur chacun, notre engagement visant à répondre aux divers besoins des survivants d’inconduite sexuelle est manifeste dans bon nombre d’initiatives :

Les vétérans et/ou les membres des FAC qui ont un problème de santé physique ou mentale lié à un traumatisme sexuel militaire, tel un trouble de stress post-traumatique, une dépression et/ou des problèmes physiques, sont encouragés à présenter une demande de prestations d'invalidité à ACC. ACC a mis en place une unité chargée expressément de traiter leurs demandes.

En mars 2020, ACC a annoncé son Bureau de la condition féminine et des vétérans LGBTQ2. Créé en juillet 2019, le bureau a pour mandat de repérer les problèmes systémiques propres aux femmes vétérans et aux vétérans LGBTQ2 et à faire progresser l’égalité, la diversité et l’inclusion des genres pour tous les vétérans.

Anciens Combattants Canada travaille étroitement avec le Centre d'intervention sur l'inconduite sexuelle pour étendre ses services aux vétérans qui subissent un traumatisme sexuel militaire.

Ces initiatives font partie de la mise en place des mesures de soutien annoncées dans Budget 2021, qui répondent aux objectifs du gouvernement du Canada liés au Plan d'action national pour mettre fin à la violence fondée sur le sexe, et s'attaquent aux inconduites sexuelles et au changement de culture au sein des Forces armées canadiennes.

Gestion de cas d’Anciens Combattants Canada

Enjeux

Les demandes de services de gestion de cas continue d’augmenter, ce qui signifie que la charge de travail pour les gestionnaires de cas demeure élevée.

Réponse

Examen indépendant :

Contexte

En décembre 2020, le ratio de vétérans par rapport aux gestionnaires de cas est de 33,1:1 (source : Livre des faits et chiffres de décembre 2020 d’Anciens Combattants Canada).

Anciens Combattants Canada offre des services de gestion de cas pour soutenir ceux qui sont aux prises avec des difficultés complexes. Il s’agit d’un processus de collaboration entre le client et l’équipe de gestion de cas visant à cibler les besoins, à établir des objectifs et à mettre au point un plan pour aider les clients à devenir le plus autonomes possible tout en jouissant d’un meilleur état de santé et d’un niveau accru de bien-être.

Les efforts de gestion de cas d’Anciens Combattants Canada visent à s’assurer que tous les vétérans reçoivent le soutien dont ils ont besoin. Au cours des dernières années, Anciens Combattants Canada a presque doublé le nombre de gestionnaires de cas afin de suivre l’augmentation du nombre des demandes de services de gestion de cas.

Dans le budget de 2018, dans le cadre de l’excellence du service (Surge), nous avons reçu un financement temporaire pour d’autres gestionnaires de cas. À l’heure actuelle, il y a 476 gestionnaires de cas (426 permanents et 50 temporaires).

Toutefois, nous reconnaissons que le simple fait d’augmenter le nombre d’employés ne suffira pas à répondre à la demande croissante. En réponse à la demande croissante de services, Anciens Combattants Canada met en œuvre plusieurs initiatives visant à améliorer l’efficacité et les pratiques de gestion de cas afin de s’assurer que le niveau approprié de services est fourni aux vétérans et à leur famille.

La mise en œuvre du soutien dirigé en décembre 2018 garantit que les vétérans ayant des besoins modérés bénéficient du soutien approprié fourni par les agents des services aux vétérans, ce qui permet aux gestionnaires de cas de se concentrer sur les vétérans ayant des besoins élevés qui ont besoin de ce niveau de soutien.

Le nouvel outil d’évaluation préalable mis en place en janvier 2019 améliore notre capacité à déterminer les vétérans qui présentent un risque, des besoins plus élevés et complexes, afin qu’ils puissent être correctement dirigés à un niveau de soutien approprié.

Une initiative de renouvellement de la gestion de cas permettra de créer un modèle plus équilibrée des services de gestion de cas aux Vétérans. L’initiative permettra de présenter une nouvelle approche d’équipe, et l’amélioration des outils et des caractéristiques à partir de maintenant jusqu’en mars 2022. Le but est de maintenir la qualité des services de gestion de cas en assurant une équipe interdisciplinaire travaille avec les vétérans afin qu’ils reçoivent le bon niveau de service en fonction de leurs besoins, des risques et de la complexité.

En avril 2021, ACC a lancé une nouvelle évaluation de la gestion de cas. Cette évaluation utilisera les initiatives numériques afin de réduire le fardeau administratif, et ainsi accroître la capacité des gestionnaires de cas de travailler directement avec les vétérans et leurs familles.

La mise en œuvre d’un changement de cette ampleur prend du temps. Toutes ces stratégies visent à mettre en place une approche plus durable des services de gestion de cas, ce qui entraînera une diminution des ratios au cours des prochaines années.

Centre de la sécurité des télécommunications

budget supplémentaire des dépenses (B)

Faits saillants

Postes budgétaires inclus dans le Budget supplémentaire des dépenses B de 2021-2022 du CST

Détails

Fonds pour investir dans le renseignement étranger du Canada en répopnse aux menaces persistantes

Fonds pour améliorer la fiabilité et la sécurité des réseaux de technologie de l'information du gouverne,ent du Canada

Agence de promotion économique du Canada atlantique (Ginette Petitpas- Taylor)

Budget supplémentaire des dépenses (B) 2021-2022 – APECA

Enjeu

Pouvez-vous décrire en détail les modifications apportées au budget supplémentaire des dépenses de l’APECA ?

Réponse

Contexte

Pour l’année financière en cours, l’APECA ne demande qu’une partie du financement destiné au Fonds pour l’emploi et la croissance (FEC) dans le budget de 2021 : le reste des fonds sera rendu disponible au cours de l’exercice 2022-2023.

Au moment de leur dépôt, les estimations totales de l’APECA à ce jour s’élèveront à 429,7 millions de dollars, soit une augmentation de 17,4 millions de dollars par rapport aux autorisations de 412,3 millions de dollars approuvées jusqu’à maintenant. Voici ce qui explique cet écart :

Toutes les autres initiatives du budget de 2021 (IRRA, FAT, FCRC, PECN), totalisant 53 millions de dollars, seront demandées dans le budget supplémentaire des dépenses « C », ce qui n’empêche pas l’approbation de projets dans le cadre de ces initiatives. L’APECA peut gérer les fonds jusqu’à la fin du mois de mars 2022.

Préparation et approbations

Personne-ressource de l’APECA : Phil McComiskey, conseiller principal, Gestion des enjeux et Affaires parlementaires, 506-377-5731

Experte du secteur : Lyne Lirette-LeBlanc, directrice générale, Finances et administration, 506-866-7180

Approbation du secteur : Stéphane Lagacé, vice-président, Finances et Services corporatifs, 506-851-6438

Le point sur les programmes de l’APECA et les secteurs clés – APECA

Enjeu

Quel est l’état actuel des programmes ordinaires de l’APECA?

Réponse

Contexte

En 2019 (avant la pandémie), la croissance du PIB réel du Canada atlantique a dépassé la moyenne nationale (2,7 % pour le Canada atlantique et 1,9 % pour le Canada).programmes.

Préparation et approbations

Préparé par : Phil McComiskey, conseiller principal, gestion des enjeux et affaires parlementaires, 506-377-5731

Personne-ressource du secteur : Hélène Robichaud, directrice générale des programmes, 506-851-6496

Approbation du secteur : Daryell Nowlan, vice-président, Politiques, Programmes et Communications, 506-851-3805

Le point sur le soutien offert en lien avec la COVID-19– APECA

Enjeu

Que fait l’APECA pour appuyer les entreprises du Canada atlantique durant la pandémie de COVID-19?

Réponse

Contexte

Île-du-Prince-Édouard

Nouveau-Brunswick

Terre-Neuve-et-Labrador

Nouvelle-Écosse

Préparation et approbations

Personne-ressource de l’APECA : Phil McComiskey, conseiller principal, gestion des enjeux et affaires parlementaires, 506-377-5731

Experte du secteur : Hélène Robichaud, directrice générale des programmes, 506-851- 6496

Approbation du secteur : Daryell Nowlan, vice-président, Politiques, Programmes et Communications, 506-851-3805

Agence canadienne de développement économique du Nord (Dan Vandal)

La Stratégie de relance de tourisme de CanNor

Objet

Qu'a fait l'Agence canadienne de développement économique du Nord pour favoriser la relance du secteur touristique dans les territoires canadiens?

Réponse

Messages supplémentaires

Contexte

Au début de la COVID-19, les territoires du Canada ont adopté des mesures frontalières strictes et des restrictions de voyage pour minimiser le risque d'introduction du virus dans les communautés nordiques isolées. Ces mesures ont permis d'atténuer l'impact sur la santé publique des territoires. Cependant, ils ont également porté un coup disproportionné à l'industrie touristique du Nord, qui dépend fortement des visiteurs de l'extérieur des territoires et de l'extérieur du Canada. Destination Canada estime que les territoires ont perdu 364 millions de dollars en dépenses de visiteurs internationaux, à l'exclusion des billets d'avion, en 2020 seulement.

Avant la pandémie, le tourisme dans le Nord était essentiel à la diversification économique et soutenait le développement des petites et moyennes entreprises et des emplois locaux.

Cependant, les territoires continuent de faire face à des défis industriels permanents, notamment le manque d'infrastructures locales, un nombre insuffisant d'opérateurs touristiques prêts à exporter et des coûts de transport élevés pour les déplacements et l'expédition.

Par l'intermédiaire du Fonds d’aide au tourisme, CanNor appuie la mise en œuvre du programme d'investissement pour la relance du tourisme des Territoires du Nord-Ouest et du programme Elevate 2.0 du Yukon, conçus pour fournir des stratégies de rétablissement adaptées au paysage touristique unique de chaque territoire. Au Nunavut, CanNor fournira le Fonds d'aide au tourisme directement aux bénéficiaires admissibles et s'est engagé avec Tourisme Nunavut et les opérateurs pour soutenir les demandeurs.

Dans le cadre de sa programmation régulière, CanNor continue de soutenir le secteur du tourisme. Par exemple, par l'intermédiaire d'IDÉENorth, CanNor a fourni 2,7 millions de dollars à Tourisme Territoires du Nord-Ouest pour mettre à jour ses principales activités de marketing de destination, et 900 000 $ à Tourisme et Culture des Premières Nations du Yukon pour développer et commercialiser les industries culturelles et touristiques autochtones du Yukon afin de soutenir leur plan stratégique pluriannuel. CanNor a également soutenu des projets d'infrastructure à potentiel touristique dans les territoires.

Alors que le Canada émerge de la pandémie, le gouvernement soutiendra un redémarrage en toute sécurité du secteur du tourisme du Nord, tirant parti des avantages concurrentiels de chaque territoire tout en continuant de combler les lacunes pré-pandémiques dans l'industrie.

Agence de développement économique du Canada pour les régions du Québec (Pascale St-Onge)

Dépôt du budget supplémentaire des dépenses (B) 2021-2022 pour Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC)

Objet

DEC a demandé 53,3 millions $, soit la moitié des fonds annoncés lors du Budget 2021 pour livrer le Fonds canadien de revitalisation des communautés (FCRC) au Québec, dans le cadre du budget supplémentaire des dépenses (B).

Réponse

Messages supplémentaires :

Contexte

Bureau des affaires parlementaires

Danielle Veilleux, Secrétariat ministériel, Cabinet de la SM/présidente, 514-226-7894

Préparation et approbation

Préparé par : Karina Bazinet, Direction générale des finances ministérielles/Planification budgétaire, gestion financière et systèmes financiers, 514-966-1452

Personne-ressource du secteur (directeur ou niveau supérieur) : Karina Bazinet, Direction générale des finances ministérielles/Planification budgétaire, gestion financière et systèmes financiers, 514-966-1452

Approbation : Mathieu Paquette, Direction générale des finances ministérielles/Directeur général, 514-222-1499

Approbation du secteur : Maxime Garon, Vice-président Services corporatifs, 514-515-7000

Appui de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) à la relance économique suite à la pandémie de COVID-19

Objet

DEC contribue activement à la relance économique au Québec suite à la pandémie de COVID-19. Par le biais d’initiatives de relance annoncées lors du Budget 2021, DEC appuie les entreprises et organismes à but non lucratif en mettant notamment l’emphase sur les secteurs les plus durement touchés tels que le tourisme.

Réponse

Messages supplémentaires :

Contexte

Initiatives de relance annoncées lors du Budget 2021 et mises en œuvre par DEC :

Fonds pour l’emploi et la croissance (FEC)

Initiative de relance régionale de l’aérospatiale (IRRA)

Fonds canadien de revitalisation des communautés (FCRC)

Fonds d’aide au Tourisme (FAT)

Initiative d’aide aux grands festivals et événements (IAGFE)

Exemple de projet appuyé dans le cadre des initiatives de relance :

FEC : DEC a accordé une contribution remboursable de 2 250 000 $ à Innomalt inc., une malterie de Bécancour spécialisée dans la fabrication de malt biologique de grande qualité et exempt de pesticide. L’aide DEC servira à financer l'acquisition et l'installation d’équipements qui permettront d’assurer l'expansion de l’entreprise. En plus de contribuer à la transition vers une économie verte, le projet permettra de développer et renforcer la filière industrielle agroalimentaire considérée stratégique à l'échelle nationale.

Bureau des affaires parlementaires

Danielle Veilleux, Secrétariat ministériel, Cabinet de la SM/présidente, 514-226-7894

Préparation et approbation

Préparé par : Bruno Martin, Direction générale, Partenariats stratégiques, 514-451-6749

Personne-ressource du secteur : Jean-Philippe Brassard, DG Partenariats stratégiques, 514-283-0703

Approbation du secteur : Marie-Claude Petit, Vice-présidente, Opérations, 514-283-3510

Réalisations de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC)

Objet

Grâce à ses 12 bureaux d’affaires à travers le Québec, DEC est le partenaire fédéral clé du développement économique régional au Québec. Par ses interventions à travers sa programmation régulière et ponctuelle, DEC appuie notamment l’innovation régionale, la croissance des PME et la vitalité des collectivités du Québec.

Réponse

Messages supplémentaires :

Contexte

Exemples de projets financés par DEC :

Bureau des affaires parlementaires

Danielle Veilleux, Secrétariat ministériel, Cabinet de la SM/présidente, 514-226-7894

Préparation et approbation

Préparé par : Bruno Martin, Direction générale, Partenariats stratégiques, 514-451-6749

Personne-ressource du secteur : Jean-Philippe Brassard, DG Partenariats stratégiques, 514-283-0703

Approbation du secteur : Marie-Claude Petit, Vice-présidente, Opérations, 514-283-3510

Mesures et programmes de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC) en réponse à la COVID-19

Objet

DEC a appuyé bons nombres d’entreprises et d’organisations à but non-lucratif à vocation économique qui ont été affectées par la pandémie de COVID-19. Pour se faire, en plus de sa programmation régulière, DEC a mis en œuvre plusieurs mesures d’urgence ponctuelles. Ce soutien a notamment aidé les PME à restructurer leurs opérations, gérer leurs liquidités ou relancer leurs activités, en plus d’appuyer des secteurs et groupes plus durement touchés.

Réponse

Messages supplémentaires :

Contexte

Mesures d’urgence mises en œuvre par DEC

Fonds d’aide et de relance régionale (FARR)

Fonds canadien pour la stabilisation de l'industrie des produits de la mer (FCSPM)

Initiative de transport aérien régional (ITAR)

Stratégie pour les femmes entrepreneures (SFE)

Croissance économique régionale par l’innovation (CERI)

Exemples de projets financés par DEC :

Bureau des affaires parlementaires

Danielle Veilleux, Secrétariat ministériel, Cabinet de la SM/présidente, 51- 226-7894

Préparation et approbation

Préparé par : Bruno Martin, Direction générale, Partenariats stratégiques, 514-451-6749

Personne-ressource du secteur : Jean-Philippe Brassard, DG Partenariats stratégiques, 514-283-0703

Approbation du secteur : Marie-Claude Petit, Vice-présidente, Opérations, 514-283-3510

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